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Le Républicain N° 4499 du 6/11/2012

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Transition malienne : Pourquoi l’ancien Premier ministre ne peut pas s’expatrier
Publié le lundi 7 janvier 2013  |  Le Républicain


Cloture
© aBamako.com par as
Cloture de la Semaine nationale du patrimoine culturel: "Des richesses adaptées aux reglementS des conflits"
20 juillet 2012. Bamako. CICB. Cérémonie placee sous la présidence du Premier ministre Cheick Modibo Diarra. Semaine nationale du patrimoine culturel s`est tenue du 16 au 20 juillet 2012.Premier ministre Cheick Modibo Diarra


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Fort de son statut de Premier ministre, le Premier ministre de plein pouvoir sortant, qui s’était rendu dans deux pays de l’Afrique de l’Est, amis du Mali, quelques semaines avant sa démission, aurait reçu des autorités de ces pays comme appui, respectivement 3 milliards et 4 milliards 400 millions de nos francs. A son retour à Bamako, ces sommes ont été déposées dans un compte à la Banque malienne de solidarité (BMS) que l’ancien Premier ministre est seul à gérer sans en rendre compte ni au Président de la République ni à personne d’autre.

Selon nos sources, une bonne partie de l’appui provenant du premier pays a été utilisé pour financer de nombreuses associations devant participer aux concertations nationales, afin qu’elles soutiennent la possibilité pour le Premier ministre de la transition qu’il était d’être candidat à l’élection présidentielle.

Sur le fonds octroyé par le second pays, il ne reste plus qu’un milliard dans le compte, selon nos sources. Le comble est qu’il a effectué un prélèvement deux jours après sa démission et le dernier en date est du 17 décembre où il aurait prélevé plus de 200 millions de FCFA, alors qu’il avait fait la passation au nouveau Premier ministre.

Selon nos sources, l’Etat cherche à savoir où sont partis ces fonds et dans quoi il les a utilisés exactement. Telles semblent être donc les raisons pour lesquelles l’Etat n’a pas voulu que l’ancien Premier ministre quitte le pays, lui qui a une double nationalité (malienne et américaine). De Paris, l’ancien Premier ministre devait, s’il sortait du pays, continuer sur les Etats-Unis, selon nos sources.

La Rédaction

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