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Le ministre Salif Traoré à l’Office central des stupéfiants : Des résultats encourageants et des besoins préssants
Publié le mercredi 28 octobre 2015  |  L’Essor
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© aBamako.com par A.S
Conseil des ministres du mercredi 30 septembre 2015
Bamako, le 30 septembre 2015 le Président de la République Ibrahim Boubacar Keita a présidé le conseil des ministres du mercredi a Koulouba. Photo: Colonel Salif Traoré




Pour contrer un ennemi qui se métamorphose constamment, il faut augmenter les effectifs, améliorer les équipements et penser à la motivation des agents

La structure joue un rôle essentiel dans l’un des grands combats livrés par notre pays, la lutte contre la drogue et la visite que lui a rendue hier le ministre de la Sécurité et de la Protection civile représentait également une reconnaissance de l’importance grandissante que prend son action. A l’Office central des stupéfiants (OCS) qui a accueilli dans ses installations le colonel major Salif Traoré, le directeur général, le colonel Moussa Zabou Maïga, a présenté son service dont l’essentiel du travail repose sur le renseignement. Cette donnée est en effet essentielle dans la bonne exécution des missions de la structure, missions liées à la lutte contre le trafic de drogue sur toute l’étendue du territoire national.

Il faut tout d’abord souligner que c’est un combat compliqué que celui dans lequel sont engagés les éléments venus de la police et de la gendarmerie qui constituent la presque totalité des effectifs de l’Office dans les différentes antennes de celui-ci aussi bien à Bamako qu’à l’intérieur du pays. En effet, les narcotrafiquants changent régulièrement de techniques pour pouvoir faire passer leurs produits au niveau des frontières. Pour les contrer, l’Office est donc contraint d’améliorer ses méthodes de traque et ses techniques de renseignement. Actuellement la structure est pénalisée par l’inexistence de laboratoire d’analyse des produits saisis, l’absence d’indemnités pour les agents et surtout l’insuffisance des moyens de locomotions.

La Cellule aéroportuaire anti trafic (CATT) a constitué la seconde étape du ministre. Ici, c’est l’interception des narcotrafiquants qui s’introduisent dans notre pays par la voie aérienne qui mobilise les énergies des deux équipes qui se relaient au quotidien. La première est en permanence opérationnelle sur la plateforme de l’aéroport international Bamako-Sénou et cible les individus suspects. L’autre, appelée « équipe d’intelligence », est dédiée à la collecte et au recoupement du renseignement, notamment celui recueilli lors des échanges avec des services « frères ».
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L’Essor N° 17187 du 17/5/2012

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