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Crise malienne : Une réunion de crise à Alger avec de nouveaux invités
Publié le mardi 19 janvier 2016  |  L’Indicateur Renouveau
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© Autre presse par DR
Lors de précédentes négociations à alger, le 1er septembre 2014




Comme annoncé, les signataires de paix sont en conclaves depuis ce lundi à Alger. Cette réunion qui intervient dans une situation de retard dans la mise en œuvre de l’accord de paix, enregistre la participation de nouveaux invités tels la Chine, la Russie, la Grande-Bretagne, membres du Conseil de sécurité et le Canada en tant que tète de proue des partenaires techniques et financiers.

Les signataires de paix sont en conclave depuis ce lundi à Alger. Cette réunion qui intervient dans une situation de retard dans la mise en œuvre de l’accord de paix, enregistre la participation de nouveaux invités tels la Chine, la Russie, la Grande-Bretagne, membres du Conseil de sécurité et le Canada en tant que tête de proue des partenaires techniques et financiers. Ils seront aux côtés du gouvernement, des mouvements armés, les pays du Champ, la Minusma, la Cédéao, l’Union africaine, l’Union européenne et l’Organisation de la coopération islamique.

L’Algérie a annoncé vouloir “procéder à un examen rigoureux des avancées ainsi que des difficultés rencontrées dans la mise en œuvre de l’accord de paix”. Un participant affirme que plus de six mois après la signature le 20 juin dernier, sur le terrain, rien de concret n’a changé. Il ajoute : “Il y a beaucoup trop de méfiance de toute part”.

Un membre du comité de suivi raconte que la question de la représentativité des mouvements armés pose encore problème. Les différents groupes se sont divisés au fil des mois et tous estiment avoir le droit de participer aux discussions sur la mise en œuvre de l’accord.

Autre blocage : le financement. Si des promesses ont été faites, les bailleurs étrangers n’ont encore pas versé l’argent promis. Les mouvements comptent beaucoup sur cette énième réunion à Alger pour relancer l’accord de paix qui prévoit une période de 18 mois pour la relecture des textes législatifs et des pouvoirs transitoires 6 mois après la signature de l’accord.

AMC
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