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© Autre presse par DR
Le festival culturel Dogon Le festival culturel Dogon à Bamako |
Bamako, la capitale malienne, abrite du 29 au 31 janvier 2016, la première édition du Festival Culturel Dogon dénommé «Ogobagnan ». Ce festival a lieu à la place du cinquantenaire au bord du fleuve Djoliba. Cet évènement qui entend faire la promotion de la culture dogon, prévoit plusieurs activités. Des conférences débats seront animées par des spécialistes de la culture dogon, il y aura aussi des défilés des masques dogons. Des concerts géants sont également prévus. Le tout pour permettre au public de découvrir la riche culture dogon. Des objets d’arts de la culture dogon seront exposés au cours de ces trois jours d’activités. Le public de bamakois est beaucoup sollicité afin de donner éclat particulier à cet évènement.
Le PARENA invite le président de la République et le Gouvernement à avoir pitié du Peuple Malien
Dans un communiqué rendu public en début de cette semaine, le parti du bélier blanc invite les plus hautes autorités du pays à avoir pitié du peuple malien en mettant fin à la République des affaires, aux scandales et aux atteintes quotidiennes à la morale publique. Ce communiqué qui intervient après le troisième remaniement en 28 mois de gouvernance, dénonce les tâtonnements et les improvisations. Ainsi pour le PARENA, un ministère créé en septembre dernier (Coopération internationale et Intégration africaine) a disparu, quatre mois après, lors du remaniement du 15 janvier qui voit la création surprenante d'un ministère de la Recherche scientifique. «Dans un pays comme le Mali, que vaut un ministère de la Recherche scientifique détaché de l'Enseignement supérieur? » demande-t-on. Le 13 janvier dernier, le Conseil des ministres avait créé une direction générale de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Trois jours plus tard, un ministère de la Recherche est créé. Pourquoi tant d'incohérences?
Le CONABEM noue un partenariat avec l’ANPE
Le Conseil National des Bureaux de Placement Payant et l’Entreprise de travail Temporaire du Mali (CONABEM) a tenu, le 23 janvier dernier au CNPM, sa huitième Assemblée Générale Statutaire. Cette 8ème assemblée a été, aussi, l’occasion pour le CONABEM de procéder avec l’ANPE la signature de la convention de partenariat entre les deux structures. C’était en présence de Dr. Mamadou Timbély, Chef de cabinet du MEFPJCC, de M. Boubacar Toutou Kanté, président du CONABEM, Ibrahim Ag Nock, DG de l’ANPE ainsi que plusieurs autres personnalités. L’une des missions principales du CONABEM est de fournir l’ANPE toutes les informations sur le marché d’emploi. S’agissant de l’AG du CONABEM, elle a mis l’accent sur le bilan écoulé de l’organisation et les perspectives à venir. En parlant le partenariat, il permettra d’améliorer la communication et la collaboration entre le CONABEM-ANPE. Il facilitera, aussi, la collecte et la diffusion d’informations fiables sur le marché d’emploi auprès des pouvoirs publics. L’AG a pris fin par la mise en place d’un bureau de 13 membres avec la réélection de Boubacar T. Kanté à la tête du CONABEM, après deux mandats.
Un Arrêté de l’ex Ministre des mines, Boubou Cissé, attaqué par la CMM devant la Cour suprême
Depuis un certain temps, la Chambre des Mines du Mali (CMM) traverse une grande crise qui l’oppose avec son département de tutelle, le Ministère des Mines. La cause de cette crise est que le bureau de la CMM en place depuis en 2011 doit être renouvelé au plus tard le mois de février prochain. A cette occasion, un différend oppose le bureau sortant de la CMM au Ministère des Mines. En effet, la Chambre des mines reproche à son département de tutelle d’avoir violé le décret n°04-587/P-RM du 23 décembre 2004 fixant l’organisation et les modalités de fonctionnement de la chambre des mines. Cette remarque a été faite en référence à l’arrêté n°2015-4203/MM-SG du 27 novembre 2015 portant organisation des élections à l’Assemblée consulaire de la chambre des mines. Le décret instituant la CMM dans son article 11 permet au ministre de tutelle de prendre un arrêté organisant des élections. Mais hélas, l’Arrêté du 27 novembre 2015 pris le ministre Cissé a péché par le non respect du décret parce qu’il a été pris à 2 mois et 29 jours de la fin du mandat du bureau sortant au lieu de 4 mois comme prévoit le décret.
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Le combat de l’Association ACTE 7 pour la Culture comme quatrième pilier du développement
Selon son président M. Adama Traoré, l’Association culturelle «Acte 7» a organisé de 2008 à 2014 dans les 7 cercles de la région de Sikasso des concertations avec des artistes, des cadres de l’Administration et des membres de la presse. Le tout pour que la culture devienne le quatrième pilier du développement économique du Mali. En octobre 2015 ce fut le lancement du programme intitulé «Sira Bo» ou ouvrier la voie. Cela dans l’objectif de faire circuler les artistes dans la région. En outre, l’Association en partenariat avec l'ORTM et Africable a réalisé de grandes émissions populaires à Bougouni, Yanfolila, Koutiala, Yorosso. Toujours, selon son président, Acte 7 sera en conclave à Sikasso en février 2016 pour faire une évaluation et finaliser le programme de tournée jusqu'au mois de juin en vue de lancer d'autres projets.
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