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Kassoum Denon, ministre de l’Agriculture : « Former un nouveau type d’agriculteur ou d’opérateur agricole »
Publié le jeudi 31 mars 2016  |  L’Essor
Cérémonie
© aBamako.com par Androuicha
Cérémonie de passation de service au ministère du développement rural .
Bamako, le 18 janvier 2016 à la cité administrative. La salle de conférence du ministère du développement rural a servi de cadre à la cérémonie de passation de service entre le ministre sortant du développement rural Dr Bocary TRETA et les ministres entrants de l`agriculture et de l`élevage et de la pêche, respectivement Kassoum DENON et Dr Nango DEMBELE. (Photo Nango DEMBELE )




Augmenter les superficies aménagées, promouvoir une agriculture durable et compétitive afin que les paysans puissent bien vivre de leur travail et assurer la sécurité alimentaire du pays. Telles sont les ambitions détaillées dans cet entretien

L’Essor : Monsieur le ministre, vous venez de prendre la direction d’un des départements ministériels stratégiques. Quels sont les challenges qui vous attendent ?

Kassoum Denon : L’ancien ministère du Développement rural a été scindé en deux entités aussi importantes l’une que l’autre, à savoir le département de l’Agriculture que j’ai l’honneur de diriger et le département de l’Elevage et de la Pêche.

Le premier défi auquel mon département est confronté est de s’atteler à soustraire notre agriculture de la péjoration du climat. Le département va s’atteler aux aménagements des terres notamment en maîtrise totale de l’eau, essentiellement à travers l’Agence d’aménagement des terres et de l’irrigation (ATI). Qui plus est l’ambition du président de la République, Ibrahim Boubacar Kéita, est d’aller vers l’aménagement de 100.000 hectares à l’horizon 2018. Ainsi, l’ATI peut beaucoup aider le département à accélérer la cadence.

Le deuxième challenge pour nous est de se concentrer sur une agriculture durable de productivité. Autrement dit, mettre en bonne cohérence la subvention des intrants et l’accroissement des rendements.
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