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Fautes graves de Moussa Bagayogo : Les non dits avérés d’une suspension
Publié le jeudi 14 avril 2016  |  Waati




Dans son bras de fer contre le Maire Principal de la commune IV pour violation des textes de la municipalité, le jeune Bagayoko pensait se servir de la population du Marché de Djicoroni-Para et la zone Bougouba qui a des antécédents avec Madame Bah Awa TAMBOURA par rapport au lotissement de la zone. Histoire de donner un coup de tonus à sa côte de popularité. Se croyant tout permis dans la commune, il n’avait aucune considération pour sa hiérarchique. L’homme a menti au maire Siriman Bathily et au 4ème Adjoint Baba Kéïta par rapport à son projet de célébration d’une centaine de mariages pour des personnes démunies. Selon les dernières nouvelles, sa peine serait réduite à 2 mois de suspension. Echappe t- il à la radiation ?
Suspendu pour fautes professionnelles très graves, Moussa Bagayogo se livrait à un jeu de trafic d’influence pensant gagner la confiance de la population auprès de laquelle, il s’était engagé pour la célébration d’une centaine de mariages médiatisés à hauteur de ses ambitions. De ce fait, sa politique avait eu raison du marché de Djicoroni-Para qui avait refusé de payer les taxes municipales jusqu’à l’arrivée de Mr BAGA. Du « BAGA-BAGA » à la réalité, la pendule fut mise à l’heure et la crise de courage est d’actualité dans ce rang, vu les différentes tendances. Hors, le début de cette suspension a été source de montée de tension sociale au sein de la population qui croyait que cette sanction était à leur défaveur. Et cela grâce aux actions de bienfaisance de l’homme dans le quartier. Bref, l’homme n’a posé que des fautes professionnelles. Ces supporters voudraient prendre le centre secondaire de Djicoroni-Para I jusqu’à l’arrivée de Monsieur Moussa Bagayogo. Certes, des problèmes existent au sein du parti YELEMA (changement) et datent du Congrès du parti à Sikasso. Mais, il semble que le Maire Siriman Bathily a réagi conformément aux textes. Sa responsabilité était compromise face aux actions de l’homme. Il serait à la base des informations données à Moussa Mara, le président du parti YELEMA. Même Moussa Mara est resté taciturne à la situation malvoyante, car il est difficile d’intervenir à ciel ouvert dans un sale dossier. Et parmi ces dossiers, la gestion opaque de certains dossiers au sein de la Mairie de la Commune IV du District de Bamako. Parmi ces dossiers, on peut noter la gestion foncière douteuse du Maire principal de la commune et l’implication de certains membres du bureau municipal. Plus maire que Siriman Bathily, il engageait la Mairie sans informer Baba Kéïta, sa tutelle. Concernant l’adduction d’eau, le dossier fut révélé par le Maire lors d’une session ordinaire aux élus municipaux qui n’ont pas apprécié l’acte. Concernant la centaine de mariage, Moussa Bagayogo a tout nié. Quel jeu de ruse qui tourne au vinaigre ? Hors, dans les textes de la municipalité, il est dit que seul le Maire peut engager la commune. Par respect des composantes sociales, après l’intervention des composantes sociales, El Hadj Siriman Bathily promet de réduire la suspension à trois mois. Rien n’est sûr. Sa radiation interviendra à six mois de la suspension. Aussi, concernant sa remplaçante, Madame Ba Hawa Tamboura, elle a des antécédents avec la population de la zone « BOUGOUBA », l’homme comptait se servir du marché de Djicoroni-Para et la population de la zone « BOUGOUBA » pour arriver à ses fins politiques et se faire martyrisé par le Maire de la Commune IV. Mr Bagayogo comptait se servir aussi de cette zone et des litiges historiques pour pouvoir maintenir son équilibre politique. Depuis quand, la population gère les problèmes administratifs de la Mairie ? Et d’autre part, cette couche sociale de rebelle n’a pas respecté les composantes sociales qu’elle avait déléguées pour la négociation. Encore un autre faux pas ! Apparemment, les choses tournent au vinaigre et ses supporters ont perdu le courage. Après son échec politique, l’homme se cherche de nos jours ! Sera-t-il rattrapé par l’histoire ? Le temps est le meilleur juge. Affaire à suivre ! Ibrahima Mamadou DEMBELE
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