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Communiqué de FASO KANU
Publié le vendredi 20 mai 2016  |  L’Essor
Rencontre
© aBamako.com par Momo
Rencontre du collectif Mali Tè Kila
Bamako, le 03 septembre 2015 le collectif Mali Tè Kila a organisé une rencontre au carrefour des jeunes de Bamako.




Après la parution dans les journaux, sur les sites d’informations, les réseaux sociaux etc, de la note d’information N°001 de Faso Kanu du 30 avril 2016 issue de son Espace de discussions et de mobilisation pour la Patrie «GUARA KÈNÈ», le Président de la maison de la presse du Mali est entré en contact avec notre Camarade Ibrahima KEBE pour lui expliquer qu’un certain Ibrahim KEBE commissaire de police risque d’avoir un problème suite à la dite note. Sa hiérarchie le soupçonne d’en être signataire.
Il a suggéré à notre Camarade de voir en urgence M. Sangho du Ministère de la sécurité et de la protection civile du Mali. Ce qu’il fit en donnant des explications claires et précises afin de lever toute confusion. Mieux, une copie du récépissé de Faso Kanu a été remise le même jour à Monsieur Sangho.
Le 10 mai notre Camarade COMMISSAIRE PRINCIPAL Ibrahima KEBE a reçu un appel téléphonique de l’inspecteur Robert Diakité du commissariat de police du 1er arrondissement de Bamako, lui demandant de se présenter au dit commissariat le lendemain à 09 heures sans en dire les raisons. Notre camarade a insisté et la réponse fut «toi-même tu es intellectuel, il faut venir». Notre camarade l’informe alors qu’il voyage très tôt sur Ségou le lendemain et qu’il ne serait de retour que pendant le week-end.
Le lundi 16 mai, l’inspecteur Robert Diakité appelle de nouveau le Camarade. Il se trouvait que depuis le 10 mai 2016, le Procureur de la République Alou Napé avait fait parvenir au commissariat une plainte de Ibrahim KEBE commissaire de police contre le camarade Ibrahima KEBE.
Cette plainte porte sur le fait que la signature en bas de la note d’information Ref n° 001/EN/FK/ 2016 émane du Commissaire Principal Ibrahima KEBE alors qu’il n’est pas fonctionnaire de police.
Pour intimider notre camarade COMMISSAIRE PRINCIPAL, le commissariat du 1er arrondissement de Bamako lui notifia dans son procès-verbal que : l’article 166 du code pénal malien dispose : « …..Toute personne qui aura publiquement porté un costume, un uniforme ou une décoration auxquels il n’a pas droit sera punie d’un emprisonnement de six mois à deux ans et d’une amende de 25.000 à 500.000 francs, ou de l’une de ces deux peines seulement.
Sera puni des mêmes peines celui qui, sans remplir les conditions exigées, aura fait usage ou se sera réclamé d’un titre attaché à une profession légalement réglementée, d’un diplôme officiel ou d’une qualité dont les conditions d’attribution ont été fixées par l’autorité…. »
On donna rendez-vous au camarade COMMISSAIRE PRINCIPAL pour lendemain à 9 heures. Chose faite. Au lieu d’être accompagné par les agents de police comme prévu, et du fait de la mobilisation de nombreuses personnes autour du camarade, il lui fut demandé de se rendre au Tribunal par ces propres moyens, au motif qu’il n’était pas sous garde à vue.
Notre camarade a demandé à qui, il doit s’adresser ?
Réponse : la police a déjà son numéro de téléphone et une fois au tribunal, il sera appelé. Là, après plus d’une heure d’attente, notre camarade est informé qu’un agent de police a déposé le dossier en indiquant qu’il ne s’est pas présenté au tribunal. Ensuite on lui a demandé de se présenter le lendemain à 14 heures.
Le 17 mai 2016 à 14 heures le secrétariat du Procureur Alou Napé lui dit de revenir dans une semaine sans une note ni aucune autre justification légale.
Malgré tout, notre Camarade resta dans la cour ; 30 minutes, après le Commissaire de police Ibrahim Kébé fait son entrée. Il va voir le Procureur Napé. Aussitôt notre camarade se présente au Procureur qui remit le dossier de l’affaire à son Premier Substitut le Procureur Samba Sissoko lequel écouta le Commissaire de police et notre Camarade COMMISSAIRE PRINCIPAL.
Après un long débat, il décide que cette affaire relève d’une simple «incompréhension» et en l’occurrence est «classée» et qu’il demande à notre Camarade de faire comprendre à l’opinion que cette interpellation n’a rien à voir avec le contenu de la note d’information.
L’Organisation Faso Kanu précise donc :
Qu’en bas de la note il est écrit : pour Faso Kanu P/O le Commissaire Principal Ibrahima KEBE et non Commissaire de police Ibrahim Kébé,
Qu’elle ne renoncera pas à cette signature,
Qu’elle est une association politique et non une fonction militaire ou para militaire,
Par ailleurs, qu’avant d’obtenir son récépissé, ses responsables ont été soumis à une enquête de moralité pendant plusieurs mois par le commissariat de police du 1er arrondissement de Bamako,
Que la Direction Régionale de l’Administration du territoire n’a fait aucune observation du genre de ce qu’on nous reproche,
Qu’elle a rempli toutes les formalités administratives conformément aux lois avant d’obtenir son récépissé après plus d’une année d’efforts et de patience.
Faso Kanu salue la mobilisation massive des patriotes de tout bord, des organisations, de la presse nationale et internationale, des jeunes sur les réseaux sociaux, mailink group, et les remercie chaleureusement.
Faso Kanu remercie toutes les bonnes volontés qui de près ou de loin ont manifesté leur soutien indéfectible et inconditionnel, au Camarade Ibrahima KÉBE et à l’Organisation.
Faso Kanu continuera sans désemparer sa marche en avant ascendante malgré les intimidations, les tentatives de déstabilisation, les calomnies, les complots, les manipulations de commanditaires camouflés qui n’ont pas le courage de leurs actions et n’osent pas agir à visage découvert.
Vive le MALI UN ET INDIVISIBLE,
Vive le MALI INDÉPENDANT ET SOUVERAIN.

Pour FASO KANU
Le Commissaire à l’Organisation
Mantala Camara
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L’Essor N° 17187 du 17/5/2012

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