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Ils ont déclaré : Ousmane Ba Diagne, secrétaire général de la Ligue démocratique(Sénégal)
Publié le lundi 30 mai 2016  |  Le Républicain
Rentrée
© aBamako.com par Momo
Rentrée politique du PARENA
Bamako, le 20 février 2016 le PARENA a tenu sa rentrée politique 2016 au Palais de la culture




« Chers camarades du PARENA, vous avez la chance d’avoir un grand président, un grand leader, un patriote, un républicain »

«Vive le PARENA ! Vive le PARENA ! Je voudrais de prime abord vous dire tout notre plaisir et toute notre satisfaction au moment où l’honneur m’échoit de prendre la parole devant votre si auguste assemblée à l’occasion du 3e congrès extraordinaire du PARENA. Aussi vous comprendrez monsieur, le président qu’étant parmi vous ici au Mali que je ne pourrais pas ne pas évoquer le nom du professeur Abdoulaye Bathily, un grand homme, un grand africain aujourd’hui engagé au service de l’Afrique et de la communauté internationale. Monsieur Bathily est un ami proche à vous personnellement. Chers camarades du PARENA, vous avez la chance d’avoir un grand président, un grand leader, un patriote, un républicain ».

Mamadou Lamine Diallo, mouvement Teguida (Sénégal)

«PARENA signifie en Wolof je suis prêt… »

PARENA signifie en Wolof je suis prêt… Votre congrès se tient à un moment critique pour le Mali marqué par de nouvelles menaces : des prises d’otages, affrontement intercommunautaire et des menaces venues de la Libye. La marche de la population malienne à vos côtés est une marque de l’adhésion des Maliens à votre combat. J’exprime ma solidarité avec vous contre les attaques personnelles et les intimidations sur les sur les réseaux sociaux et dans une certaine presse ».

Honorable Sadi Soumaïla du Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme
« Sachez que le président Bazoum Mohamed du PNDS est de tout cœur avec vous »
C’est avec un immense plaisir que la délégation du Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme participe à votre 3ème congrès extraordinaire. Notre présence en terre hospitalière du Mali n’est pas fortuite et elle témoigne des liens habituels entre les deux partis. La preuve Mr le président, vous êtes à tous nos congrès. Le camarade Bazoum Mohamed a bien voulu être parmi vous aujourd’hui, malheureusement les impératifs et ses charges l’en ont empêché, mais sachez qu’il est de tout cœur avec vous. Aussi au nom de notre délégation et au nom du PNDS, je souhaite plein succès aux travaux du 3ème congrès extraordinaire du Parena.
Pr Salikou Sanogo, 1er vice président de l’URD à propos de Tiébilé Dramé
« Vous n’êtes pas l’enfant terrible de la politique…vous en êtes l’enfant béni »
Vous n’êtes pas l’enfant terrible de la politique, comme se plaisent à le dire certaines (langues bonnes ou méchantes). Vous en êtes l’enfant béni. Cette classe politique doit s’enorgueillir de vous compter en son sein. Vous qui savez que la politique n’est pas une sinécure ou conduit de moelleux tapis rougis de la souffrance du peuple et sur les quels dandinent de présomptueux héros de pourcentages inventés. Puisse Allah vous guider en toute chose. Votre congrès qui se tient à une étape cruciale de la vie de notre pays est une autre occasion de vous armer davantage pour relever les multiples défis qui menacent l’existence même de notre pays. Si je devais parler de l’engagement du Parena pour le Mali du militantisme avéré de ses cadres et de ses militants, ce congrès ne finira pas en si peu de jours.
Boubacar S. Dao, responsable du PDES
« Le PDES vous salue et vous exhorte à persévérer dans la cohérence et le sens élevé de la Patrie qui font de vous aujourd’hui un des acteurs essentiels sur l’échiquier politique malien »
Monsieur le Président du Parena, le PDES vous salue et vous exhorte à persévérer dans la cohérence et le sens élevé de la Patrie qui vous ont animés dans l’opposition républicaine et qui font de vous aujourd’hui un des acteurs essentiels sur l’échiquier politique malien. Au regard de la situation dans laquelle se trouve notre pays, la voie de l’alternance est toute balisée. Il suffit d’avoir le courage de l’emprunter. Le PDES s’y engage avec détermination en compagnie de toutes les autres forces politiques de l’opposition et de l’ensemble des maliens soucieux de l’excellence et de la récompense du mérite. Aucun ostracisme, aucune intimidation, aucune tentative d’achat de conscience ne doit nous dévier du cap à atteindre.
Alhousseyni Abba Maïga, 4ème vice président des Fare An ka wili
« Vous avez été de tous les grands combats pour le Mali »
Le parti FARE se réjouit d'être présent à ce congrès qui vous permettra de mettre à profit, j'en suis convaincu, ce temps de réflexion collective pour analyser au mieux le contexte, le sens des mutations à l'œuvre dans notre société et en déduire les conclusions les meilleures.
Je m'en voudrais de ne pas souligner, avec véhémence, le rôle que votre parti a joué dans l'avènement, l'encrage et la préservation de la Démocratie. Vous avez été de tous les grands combats pour le Mali et aujourd'hui je peux vous assurer que le parti FARE sera toujours à vos côtés lorsqu'il s'agit de se battre pour la Démocratie et pour le Mali.

Athanasse Boudo, secrétaire national chargé des structures du parti UNIR/ PS du Burkina Faso
« Votre vaillance et votre lutte sont justifiées et légitimes »
Le 3ème Congrès extraordinaire du Parti pour la renaissance nationale (Parena) est une tribune qui m'offre l'heureuse occasion de prendre la parole au nom de l'Union pour la Renaissance/Parti Sankariste (UNIR/PS) pour vous féliciter et vous exprimer tous nos encouragements et notre solidarité agissante dans votre lutte éclairée pour l'avènement d'une véritable démocratie au Mali.
Camarades Congressistes,
Au moment où se tient votre Congrès, des luttes de résistance et de mobilisations populaires se développent avec opiniâtreté partout dans le monde, pour exiger l'instauration d'une véritable démocratie seule à même de garantir le pain et la liberté aux peuples qui croulent partout sous le diktat du capital et de l'unilatéralisme. Si Je suis à cette tribune camarades militantes et militants, c'est pour vous dire de par ma voix, que la vaillance et le courage des hommes et des femmes de ce peuple, donc votre vaillance et votre lutte sont justifiées et légitimes. Affronter la mort, c'est faire preuve de courage, de persévérance et de dignité. Affronter la mort, c'est chercher à triompher et à remporter la victoire. C'est pourquoi, à l'UNIR/PS, nous disons toujours la patrie ou la mort, nous vaincrons. Toutefois, vous ne pourrez y arriver sans une organisation sérieuse et rigoureuse pouvant être l'avant-garde de la lutte combative de votre peuple qui s'insurge contre la faim, la misère et l'extrême pauvreté pendant que d'autres maliens profitent de la sueur et du sang du même peuple.
Camarades Congressistes,
Dans mon pays, au Burkina Faso, depuis l'assassinat crapuleux du Président Thomas SANKARA le 15 octobre 1987 et celui du journaliste Norbert ZONGO le 13 décembre 1998, l'UNIR/PS se bat aux cotés du peuple et des démocrates pour l'avènement d'un pays intègre à l'image du nom du pays, c'est-à-dire Burkina Faso qui veut dire « pays des hommes intègres », nom donné en 1984 au pays par le Président Thomas SANKARA dont le combat a été celui de la justice, de l'égalité, de la liberté et de la lutte contre la pauvreté et la misère. En tant que continuateur de l'œuvre du Président Thomas SANKARA, l'UNIR/PS a repris à son compte ce noble combat, convaincu que ce défi est celui de l'humanité toute entière car les mêmes causes produisent partout les mêmes effets.

Pr Domba Jean-Marc Palm, 3è Vice-président chargé des Relations avec les partis et des alliances MPP Burkina Faso
« Ne jamais oublier que la politique est un apostolat, un sacerdoce et non une usine d'intrigues, d'astuces … »
Je prends ici la parole au nom du Président Roch Marc Christian Kaboré et du Président par intérim du parti, le camarade Salif qui vous prie d'accepter ses regrets de n'avoir pu être personnellement présent avec vous pour honorer l'aimable invitation que vous lui avez adressée. Le Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) est ici représenté par le Pr Domba Jean-Marc Palm, 3è Vice-président chargé des Relations avec les partis et des alliances.
Monsieur le président,
Le MPP est un jeune parti, d'obédience social-démocrate, qui a à peine deux ans. Mais il assume déjà la direction du pays après avoir conquis la présidence du Faso, une majorité à l'hémicycle et, tout récemment, la majorité des municipalités, dont les deux plus grandes villes du pays, Ouagadougou la capitale et Bobo-Dioulasso, la capitale économique, pour ne citer que ces deux agglomérations.
Votre congrès se tient dans un contexte marqué par les luttes des peuples du monde, les Africains en particulier, pour plus de respect, la démocratie, la liberté et la justice sociale.
La situation en Afrique, particulièrement dans la sous région ouest africaine, est aussi marquée par l'intolérance, d'énormes problèmes économiques, sociaux et sécuritaires ainsi que des affrontements fratricides à l'intérieur des Etats.
Monsieur le président,
Ces événements interpellent les hommes politiques qui doivent constamment avoir à l'esprit que le choix des peuples leur impose de les servir, d'être à leur écoute et de travailler, avec abnégation, à la satisfaction de leurs besoins fondamentaux.
Il faut aux hommes politiques travailler à la transformation qualitative de nos pays respectifs.
Aussi, ils ne doivent jamais oublier que la politique est un apostolat, un sacerdoce et non une usine d'intrigues, d'astuces, de ruses et d'accumulations de biens matériels au détriment du peuple.
Le climat délétère dans nos pays interpelle les différents acteurs (partis politiques, organisations de la société civile) afin qu'ils voient dans la démocratie un système pour lequel on bâtit durablement en regardant l'avenir et non le lendemain, dans le respect des règles du jeu démocratique.
La classe politique africaine doit œuvrer à redonner confiance aux Africains en tant qu'êtres humains, mais aussi en tant que peuple afin de relever les nombreux défis qu'ils doivent affronter. Il faut édifier un idéal politique qui convainc le peuple qu'il est maître de son sort

Baconi Ballo du Rassemblement pour le Mali (RPM)
« Le combat qui se passe est le combat du Mali »

C’est avec beaucoup de plaisir que mon parti a répondu à l’invitation du Parena. Et personnellement, je m’en réjouis également parce que je retrouve la famille. Je retrouve des amis, des camarades avec lesquels nous avons partagé beaucoup de choses. Et surtout lorsqu’il s’agit d’un congrès extraordinaire pour ne parler que du Mali, il n’y a pas chose plus intéressante que cela. Vous avez donné d’abord la parole aux jeunes et ensuite aux femmes. Vous savez les jeunes quand ils prennent la parole, c’est le cœur qui parle. Et cela est très important. Je remercie les amis du Parena d’avoir invité les camarades du RPM d’ailleurs qui s’y attendaient. Parce qu’au-delà de tout ce l’on peut entendre, nous sommes après tout des frères. Et le combat qui se passe est le combat du Mali. Et le Mali n’est pas le Parena, ni l’Adema, le Mali, c’est l’ensemble de tout ces sans voix.
Diouncounda Niakaté, CNID Faso Yiriwa Ton
« Il est évident que l’on se soit toujours battu, vous et nous, pour un autre Mali, le Mali de nos rêves »

Au nom des militants et militantes du CNID, j’adresse mes vifs remerciements en cette circonstance solennelle. En effet, le CNID et le Parena tel un frère ainé et un jeune frère cadet furent naguère au confluant de l’histoire politique contemporain du Mali nouveau. Cela traduit à suffisance tous les liens que l’on peut deviner entre nos deux formations politiques quelle que soit l’orientation ou même la situation dans laquelle vivrait l’une ou l’autre. Ainsi c’est de tout cœur que nous prenons place parmi les illustres invités comme vous l’avez voulu. La démocratie est loin d’être une quête achevée. Il est évident que l’on se soit toujours battu, vous et nous, pour un autre Mali, le Mali de nos rêves. Donnons-nous alors les moyens d’y parvenir.

Djigui Diabaté, secrétaire administratif du Parti de la Restauration des Valeurs du Mali (PRVM) Faso Ko
« Le Parena a été une figure de proue de la démocratie au Mali.»
Le PRVM représenté à son plus haut niveau par son président Mamadou Oumar Sidibé ici présent et l’ensemble de la délégation qui l’accompagne adressent nos vives félicitations au Parena et à l’ensemble des partis politiques de l’opposition démocratique et républicaine du Mali. Notre forte délégation ici présente témoigne de notre respect et notre considération pour le Parena. Ce Parena qui, il faut le rappeler, a été une figure de proue de la démocratie au Mali. Le Mali de 1960 a disparu. Pour preuve, aujourd’hui pour se rendre dans certaine localité, le Malien lui-même est obligé de demander l’autorisation qui doit être acceptée pour s’y rendre. Le Malien aujourd’hui dort avec la peur et se réveille avec inquiétude.


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