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Double attaque, double bilan
Publié le mardi 7 juin 2016  |  Le Reporter
Hommage
© aBamako.com par A.S
Hommage aux casques bleus guinéens tués
Le Tchadien Mahamat Saleh Annadif, patron de la force onusienne déployée au Mali, la Minusma, rend hommage aux casques bleus morts vendredi à Kidal, ce mercredi 17 février 2016 à Bamako.




Dans la nuit du 31 mai 2016, Gao a été victime d’une double attaque. Dans un premier communiqué, la Minusma a parlé de 4 morts dont un militaire chinois. Alors que les populations de Gao avançaient une dizaine. Toute la journée du 1er juin 2016, cette information a été donnée par tous les médias.
Dans la journée de vendredi 03 juin 2016, la Minusma, dans une mise à jour du bilan des attaques contre des camps des Nations unies à Gao, a noté ceci : le bilan définitif des attaques du 31 mai qui ont ciblé le camp Elevage de la Minusma et celui d’une compagnie associée des Nations Unies indique que les agents de sécurité maliens de cette dernière ont été grièvement blessés et non pas tués comme initialement rapporté dans le communiqué de la Minusma, publié le soir même de l’attaque. Ils sont actuellement à l’hôpital régional de Gao où ils reçoivent les traitements appropriés. La Minusma leur souhaite un prompt rétablissement.
Le bilan définitif de l’attaque est donc comme suit : 2 morts : 1 Casque bleu du contingent chinois et 1 expert français de la compagnie associée des Nations unies, 4 blessés graves (Casques Bleus du Contingent Chinois et deux agents de sécurité maliens), 11 blessés légers et ayant subi des blessures qui ne requièrent pas d’évacuation médicale en dehors de Gao (civils de la Minusma en majorité).
Sans petite culotte
«Moi-même, je suis arrivée à l'hôtel du Golf (quartier général d'Alassane Ouattara) les fesses à l'air, ma nudité exposée, j'ai subi plusieurs tentatives de viol en plein jour (...) et tout cela en présence des soldats français qui filmaient», explique Simone Ehivet GBAGBO, épouse de Laurent Gbagbo, et ancienne Première dame.
L'ex-Première dame de Côte d'Ivoire, Mme Simone Gbagbo, est revenue à la barre, ce jeudi 2 juin, à Abidjan-Plateau. Et ce, dans le cadre des Assises 2016. Dans son interrogatoire du jour, Mme Gbagbo a soutenu qu'elle n'a jamais appelé «personnellement» à la résistance. Toutefois, elle a précisé qu'elle était optimiste quant à l'issue de la crise de 2011.
«Je comptais sur les populations civiles et la société civile. Tout moyen de combat n'est pas moyen de guerre. Les civils peuvent constituer un moyen de pression», a-t-elle justifié. Mais avant, elle a partagé son rêve pour son pays. Simone Gbagbo a fait savoir qu'elle aspire à un pays où la liberté est une réalité, la souveraineté est respectée. «Je rêve d'un pays développé. J'aspire à un pays où les populations sont épanouies et développées», a-t-elle signifié.
100% RPM
L’édition du journal de la semaine sur la radio nationale a été entièrement consacrée aux comptes-rendus des conférences régionales du parti Rpm à l’intérieur du pays. De Kayes à Gao. Un à un, le journaliste-présentateur a aligné les comptes-rendus par région et cercle des conférences régionales du Rpm, seul parti à avoir bénéficié de ce traitement. Alors que certains partis politiques cherchent simplement la diffusion de leurs communiqués, au même moment une édition spéciale est organisée pour le parti au pouvoir.
Même au temps de l’UDPM, cela n’a jamais été fait par la radio nationale. Le sens unique dans le traitement des informations. Plusieurs partis politiques ont fait des rencontres à l’intérieur du pays, mais dans le résumé de la semaine, on a parlé que des activités du Rpm, qui se réveille subitement pour mobiliser ses militants en vue de son prochain congrès, un congrès mille fois reporté.
À cause des querelles intestines en son sein, ce parti avait perdu ses cadres et militants. Mais, avec l’élection d’IBK président de la République, il est devenu un refuge pour bandits, délinquants et magouilleurs de la République. Sorti des législatives avec une soixantaine de députés, le Rpm en dénombre aujourd’hui plus de 80.
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