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Poème(le) crash [de ma vie] (en) 5 (cinq) lettres (Cri-rebelle-âme-sœur-homme)
Publié le lundi 20 juin 2016  |  L’aube
Amadou
© Autre presse
Amadou Toumani Toure
Le président déchu du mali




Au Général ATT, l’homme du 8 juin 1992, au-delà des acteurs du Mouvement démocratique du 26 mars
1. Je m’en allais sans vous dire au revoir, parents !
2. Je m’en irai ainsi tout en vous reparlant.
3. Je me ferai le devoir de repartir vite.
4. Je devrais me départir de tous ces Sémites.
5. Je suis parti Camarades, sans vous… Mes adieux…
6. Je me vois m’en aller, ô Grand Dieu, oui, Grand Dieu !
7. Je dois partir… Qui a goûté, mourra… Moi donc !
8. Je suis parti donc, sans vous dire “Au revoir” Père.
9. Je pars rejoindre Maman, Pépé, Mémé, quoi donc ?
10. Laissez-moi partir, m’en aller, dormir, au pair…
11. Laissez-moi pleurer, m’éclater en sanglot d’homme…
12. Le crash du sanglot de l’homme noir, sanglot de môme.
Ce 8 juin est une date biffée qui n’existe plus par discourtoisie anti républicaine avérée au Mali au nom des disparités et des hypocrisies si importantes qu’elles sont difficiles à gommer Gnégocratie (pouvoir du jaloux-type parfait) ou à combler désirs de paix sociale et de stabilité politique, à cause des écarts multiculturels et linguistiques inhérents à la société malienne dans son ensemble et spécifique à la nature des rapports sociaux imbriqués qui s’’y déroulent praxis d’échanges et de conciliations entres particules humains en quête de ré-humanisation absolue par la religion et le discours politique aseptisé. Des technocrates aux citoyens émergents nouveaux acteurs issus de la société civile malienne, des expatriés en retour au pays et des experts nationaux expérimentés sur le plan continental. Des gens un peu trop secret en tout et qui ne sont pas en mesure de nous parler en toute transparence de corruption ni de rupture à cause de leur devoir de réserve ou obligations professionnelles au secret de la profession et de la déontologie pendant qu’on se situe dans la lutte contre ceci, contre cela au nom de la même éthique qui reste déontologie et considérations humaines des choses.
Ce poème est donc le sien à ATT (Ba Lobo Traoré ka Amadou Toumani TOURÉ).
Un homme au-dessus du lot, un militaire très économe du sang de ses hommes le 26 mars et le 22 mars 2012, un général qui respecte les lois de la guerre pour la maîtrise qu’il en a de science et de connaissance sûre et certaine. Et qui est venu librement à la politique pour en repartir docilement sans parti ni parti pris qui l’en auraient empêché. Il est venu s’installer par accords du 6 avril à Dakar ici au Sénégal où seule la paix est son quotidien.
Moi aussi en août 2012 j’ai regagné le lieu du refuge en ralliant Dakar, la capitale sénégalaise, au pays de la Teranga où on vit ensemble sans s’être jamais vus. «Quiconque m’aime me suit», dit l’adage.
Att am bé sa inofé, n’était pas un faux cri de guerre du cœur, il y a des années en arrière.

Le Club Att local de la Cité des Enseignants de Bamako-Coura/Dravéla, Rue 363×360,
Jeunesse Active et Humaniste – JAH CLUB ATT
LE PORTE PAROLE DU MOUVEMENT FARAFINA DAMBE, RAS STAF (Mourasma)
Leye Khaly Moustapha
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