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FOCUS : Quand le camp militaire Ahmadou Sékou de Ségou avait refusé la présence d’IBK aux funérailles des soldats tués au camp de Nampala
Publié le lundi 25 juillet 2016  |  L’Inter de Bamako
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© aBamako.com par A S
Le Président de la République rend hommage aux soldats tombés à Nampala
Le Président de la République SEM Ibrahim Boubacar KEITA rend hommage aux soldats tombés à Nampala le 21 Juillet 2016 à Segou




Il a fallu les bons offices de certains militaires pour qu’Ibrahim Boubacar Keïta préside la cérémonie. Selon nos sources, l’atmosphère serait très électrique entre le président de la République et la grande muette. Quand le vin est tiré, dit-on, il faut le boire, on saura maintenant si Koulouba fait peur à Kati. Pré ! A quoi serviront vos hélicoptères dans une armée décimée par les assauts d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) ?
Défaillance des services de renseignements maliens

Les récentes attaques des groupes armés ou d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) contre les populations ou en direction des camps militaires mettent à nu la défaillance des services des renseignements maliens. Quand AQMI a comme cible la France et les USA (ONU), leur présence au Mali multiplie les attaques.
Le Camp de Kati : un camp de veuves ?

Nous sommes tentés de répondre par l’affirmative lorsque les faits sont patents et retiennent l’attention. Au camp militaire de Kati règne un silence de mort. La vie est calme. Les multiples attaques perpétrées dans les camps militaires par AQMI auraient transformé Kati en un camp de veuves.
Attaque du camp de Nampala : le président de la Commission Défense du Parlement serait sur le point d’écouter son «ministre de la Défense et des Anciens Combattants, Tiéman Hubert Coulibaly»

Selon les propos du gouvernement le bilan de l’attaque du camp de Nampala est lourd. Cela signifie en terme clair que tous les soldats présents dans le camp seraient morts. Combien étaient-ils ? Lorsque le gouvernement cache la vérité au peuple, elle finira par éclater au grand jour.
Le camp Soundiata de Kati n’abrite que des veuves de soldats tués par AQMI et des groupes armés signataires de l’accord de paix d’Alger au front. Ce qui fait encore plus mal, c’est quand l’honorable Karim Keïta, président de la Commission Défense de l’Assemblée nationale du Mali, veut entendre «son ministre de la Défense Anciens Combattants» par rapport à ce carnage.
Rappelons que le nom de Tiéman Hubert Coulibaly ne figurait pas sur la liste proposée par le Premier ministre Modibo Keïta pour le réaménagement ministériel. Informé, le bouillant député et fils du président de la République, Karim Keïta, aurait pris soin d’écrire son nom en le maintenant à son poste.
S’il y a faute grave contre l’Etat, Karim et son ministre doivent répondre de leurs actes. Pourquoi nommer un civil au ministère de la Défense et des Anciens Combattants ? Pour détruire l’armée. L’Assemblée nationale du Mali doit tout simplement limoger Karim Keïta à la présidence de la Commission Défense.
Les dérapages du ministre de la Défense et des Anciens combattants : construction d’un entrepôt d’équipements militaires du Mali en Guinée

Quelle sottise gouvernementale ! Pour des raisons de souveraineté nationale, notre pays ne doit en aucun cas construire un magasin d’entrepôt d’équipements militaires en Guinée. Le président guinéen, Alpha Condé, a immobilisé au port de Guinée en 2012 les équipements militaires au motif que le syndicat des chefs d’Etat de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et le Front uni pour la Sauvegarde de la Démocratie et de la République (FDR) malien sont hostiles au coup de force du Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l’Etat (CNRDRE) du 22 mars 2012 contre le régime ATT. La construction d’un entrepôt d’équipements militaires malien en Guinée montre que le gouvernement du Mali cherche à faire disparaitre son armée.
Communiqués du Conseil des ministres : des nominations qui diffament le régime IBK

Du népotisme dans les nominations, on passe à l’impunité. Selon les murmures des Bamakois, le communiqué du Conseil des ministres s’est mué en un conseil des brigands. Et pour cause : le règne des cadres incompétents. Les différents communiqués du Conseil des ministres du régime des tisserands n’attirent plus les gens.
Et pour cause ? N’importe qui peut devenir ministre, DG, PDG ou PCA au Mali sans au préalable être soumis à une enquête de moralité. Du coup, l’auguste Conseil des ministres s’est mué en un véritable «conseil des brigands», attestent les murmures des Bamakois.
POINT DE MIRE : Qu’attendons-nous de l’Humanité ?

Ces messieurs, les scientifiques ignorent toutes ces conséquences qu’ils ont provoqués avec leurs explosions atomiques, leurs essais dans l’océan. Ainsi donc, aussi savants soient-ils, ce sont des ignorants, des bêtes sauvages, à qui il n’importe pas d’inventer des engins pour détruire l’humanité et se détruire eux-mêmes.
L’énergie atomique a contaminé la mer entière et les animaux qui y habitent. Il est logique qu’en nous nourrissant de poissons ou avec certains animaux marins, nous contaminons notre organisme. Il est conseillé de ne pas en manger. La mer, étant un corps vivant, inhale et exhale ; en exhalant, elle contamine l’oxygène que nous respirons, et toute la végétation. Viendra l’altération des organismes humains, et alors des enfants monstrueux naitront, à cause de cette contamination générale, ce qui alarmera le monde entier.
En regardant notre planète depuis d’autres dimensions supérieures, là-bas, elle a disparu ; ce que nous voyons c’est un bourbier de couleur jaune, comme si on faisait bouillir dans un récipient un peu de terre avec de l’eau. On ne voit aucune espèce de vie, ni végétale, ni animale, ni humaine. Tout est mort. Il ne manque plus que cela se cristallise dans la Troisième Dimension ou monde physique, et la vie commencera à disparaître de la carte, car tout vient d’en haut vers le bas.
Les scientifiques, les intellectuels, riront à gorge déployée de ce que je dis ici, comme un âne en train de braire, mais lorsque le moment arrivera, ils seront les plus lâches ; ils pleureront sans savoir quoi faire ni ou aller.
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