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Mali: Gao reste sous tension
Publié le mercredi 13 fevrier 2013  |  L’Express


© AFP par Pascal Guyot
Affrontement entre l`armée française et les islamistes à Gao
Lundi 11 février 2013. Mali. Gao


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L’armée française a désamorcé mercredi matin une bombe artisanale de 600 kilos d’explosifs dans le centre de Gao, la grande ville du nord. L’ONU craint "une spirale de violence catastrophique".

L’ONU redoute une spirale de "violence catastrophique" au Mali où Gao, alors que la ville a été le théâtre de violences ces derniers jours".
La Haut-commissaire de l’ONU aux droits de l’homme Navi Pillay a lancé mardi un appel solennel à tous les protagonistes du conflit pour qu’ils "empêchent les représailles", estimant que "les attaques et les ripostes risquent d’entraîner le Mali dans une spirale de violence catastrophique".

L’armée française a désamorcé mercredi matin une bombe artisanale de 600 kilos d’explosifs dans le centre de Gao, la grande ville du nord du Mali.
Posé dans la cour d’une maison abandonnée, l’engin, composé de quatre fûts métalliques remplis d’explosifs d’où dépassaient des fils pour la détonation, se trouvait non loin d’un hôtel ou logent des dizaines de journalistes étrangers. Des cartouches de mitrailleuse lourde traînaient également sur le sol de la cour, ainsi que quelques obus à l’intérieur de la maison.
La ville infiltrée par les islamistes armés

Les armées française et africaines sont restées vigilantes mardi après que les djihadistes ont reçu le soutien d’Al-Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa), basée au Yémen, qui a qualifié "la croisade contre l’islam" menée par la France de "déclaration de guerre contre l’islam et les musulmans".

Gao, qui a connu vendredi et samedi les premiers attentats-suicide de l’histoire du Mali, ainsi que des combats de rues entre des groupes de jihadistes à des soldats maliens et français, est toujours sous tension.
Le principal marché de la ville est quasi-désert, la majorité des boutiques sont fermées. Des patrouilles maliennes et nigériennes sillonnent les rues. "Les gens ont peur, à cause de la sécurité et parce qu’on procède à des arrestations", a confié un (...) Lire la suite sur lexpress.fr

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