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L’envers du décor : La belle pagaille
Publié le lundi 24 octobre 2016  |  L’Indicateur Renouveau
4e
© aBamako.com par A S
4e congrès ordinaire du Rassemblement pour le Mali
Bamako, le 22 octobre 2016 le Rassemblement pour le Mali a tenu son 4e congrès ordinaire au palais de la culture
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Une belle pagaille régnait dans la salle Ba Zoumana Sissoko à l’occasion de la cérémonie d’ouverture du congrès du RPM. En effet, la salle a été débordée par un public aussi gouailleur qu’enthousiaste. Une défaillance de l’organisation que les plus tolérants ont attribuée à l’expérience des animateurs du parti. Pour d’autres, le débordement de la foule s’explique par le grand engouement et l’adhésion des Maliens au projet du président.

Tiémoko Sangaré (Adéma/PASJ) “le RPM et l’Adéma feront de l’histoire ensemble“. Le Parti africain pour la solidarité et la justice (Adéma/PASJ), a l’instar de beaucoup de formations politiques ne présenteront pas de candidats face au président IBK à l’occasion de l’élection de 2018. Invité à la cérémonie d’ouverture du 4e congrès des tisserands samedi 22 octobre son président difficilement intronisé en 2015 dans un climat de malaise général qui frappe toujours le parti de l’Abeille, Tiémoko Sangaré, a laissé entendre que l’Adéma et le parti présidentiel feront de l’histoire ensemble. Par ces propos, le ministre des Mines, non seulement s’annonce non-partout pour la bataille de 2018, mais surtout confirme leur soutien à l’ancien président de l’Abeille, Ibrahim Boubacar Kéita.

Honorable Belco Bah, “n’importe quel milliardaire peut s’offrir des députés…” Le député élu dans la circonscription électorale de Niono sous les couleurs de l’Union malienne du Rassemblement démocratique africain (UM-RDA), Belco Bah n’a pas pu s’empêcher de se passer du phénomène de nomadisme politique qui menace sérieusement l’unité de la majorité présidentielle.

L’argument avancé par les démissionnaires notamment l’insatisfaction et des frustrations nées depuis trois ans d’un exercice du pouvoir faussé dès le départ par l’ampleur du plébiscite qui a porté le président IBK à la magistrature suprême ne tient pas selon Belco Bah. “Si la législature n’est pas révisée n’importe quel milliardaire même s’il n’a pas mis pieds au Mali pourra s’offrir des députés. C’est un processus de fragilisation de la majorité présidentielle et parlementaire formée à l’issue des élections présidentielle et législatives de 2013…”

Rassemblé par Bréhima Sogoba
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