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Clôture des travaux de la 7eme session du CESC : Une série de recommandations pour relancer l’économie nationale
Publié le jeudi 21 fevrier 2013  |  Le Prétoire


© aBamako.com par as
Présentation des vœux des Institutions de la République au Président de la République par intérim Dioncouna Traore
24/12/2012. Bamako. Hall du Secretariat General de la Présidence. Présentation des vœux par l’Assemblée Nationale, la Cour Constitutionnelle, la Cour Suprême, le Médiateur de la République, le Conseil Economique et Social, le Vérificateur. Jeanmille Bittar, President du Conseil Economique et Social


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Après deux semaines de réflexion pour la relance de l’économie nationale du Mali, les travaux de la 7ème session de la 4ème mandature du Conseil économique, social et culturel ont pris fin, lundi 18 février 2013. D’importantes recommandations ont été formulées.

Jeamille Bittar, président CESC
Les travaux de cette session ont permis de faire un diagnostic de l’état dans lequel se trouve l’économie nationale. Dans son allocution de bienvenue, le président du Conseil économique, social et culturel (Cesc) Jeamille Bittar a d’abord précisé que la question clé qui demeure, c’est comment sortir le Mali de la récession qui domine notre économie. Selon lui: «Après avoir exploré les mécanismes de son fonctionnement dans le rouge, nous comprenons mieux l’urgente nécessité de remettre le pays au travail. Nous sommes un pays de l’Hinterland, mais notre géographie nous offre de nombreuses opportunités, dans des domaines insoupçonnés. Le plus fâcheux serait de ne pas faire confiance en nos propres capacités». En outre, le président du Conseil a, par la suite, rappelé le rôle de l’Etat qui joue une partition importante dans le développement économique, social et culturel. «Il est loisible de comprendre que le rôle de l’Etat n’est pas négligeable. C’est une exigence de notre époque qui nous incite à vouloir toujours «mieux d’Etat» afin de libérer les initiatives qui s’expriment ici et là, dans un contexte marqué par la crise et le niveau si rude des compétitions de l’économie mondiale», a-t-il martelé.
Les partenaires financiers, les membres du secteur public et du secteur privé, les principaux acteurs de développement du secteur industriel, ont tous répondu présents à l’évènement. Le président du Cesc n’a pas caché sa satisfaction pour les travaux de cette session entièrement consacrée à la relance de l’économie malienne: «Ma première satisfaction tire son essence essentiellement du fait que tous les corps de métier sont venus pour s’exprimer. Nous avons été témoins de l’engouement que ce sujet a suscité au niveau de toutes les couches socio professionnelles».
Profitant de l’occasion, le président du Conseil, Jeamille Bittar, a renouvelé ses remerciements au Programme des nations unis pour le développement (Pnud) pour son soutien permettant la tenue et l’organisation de cette session.
Il faut noter que cette session a été mise à profit pour renouveler partiellement le bureau du Cesc. Deux anciens secrétaires ont été reconduits et les cinq commissions de travail ont été dotées, chacune, d’un nouveau président. Le président et le vice président n’ont pas été concernés par ce renouvellement.
Retenons que ces travaux ont permis d’aboutir à des recommandations qui seront transmises aux autorités dans les jours à venir, pour certainement aider à la prise de décision pour la relance de l’économie sur cale depuis le 22 mars 2012.
Ibrahim M. GUEYE

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