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L’Indépendant N° 3209 du 26/2/2013

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Atteint d’hydrocéphalie : Tiécoura Kéïta, âgé de 7 mois, a besoin de soins urgents
Publié le mercredi 27 fevrier 2013  |  L’Indépendant




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Le bébé de sept mois souffre d’hydrocéphalie. Si les médecins n’y prennent pas garde, l’hydrocéphalie finira par prendre le dessus sur les autres types de maladie dont souffrent les enfants. Depuis quelque temps, l’hydrocéphalie est en passe de devenir un véritable problème de santé publique. Pire, c’est que dans un pays pauvre comme le notre, le constat est de plus en plus établi que cette maladie ne s’en prend qu’aux enfants issus de familles déshéritées.

L’hydrocéphalie est une anomalie neurologique caractérisée définie le plus souvent par l’augmentation du volume des espaces contenant le liquide céphalo- rachidien. Cette hydrocéphalie malformative accompagne souvent les défauts de fermeture (dysgraphies) du tube neural. Elle correspond à l’accumulation excessive du liquide céphalo-rachidien à l’intérieur des cavités du cerveau due à une mauvaise circulation de sang. Cette dilatation relève d’une hypersécrétion de LCR, c’est-à-dire, un défaut de résorption ou une obstruction mécanique des voies de la circulation du sang. Ce type d’hydrocéphalie est l’apanage du nourrisson et se déclare par une augmentation du périmètre crânien, un bombement des fontanelles et des yeux.

Tiécoura Kéï ta est le deuxième enfant de Mariam Niaré, une jeune maman de 25 ans qui travaillait comme restauratrice. Elle a abandonné cette activité depuis son accouchement à cause du déclenchement de l’hydrocéphalie chez le nouveau né âgé à l’époque de deux mois. La maladie est apparue au cours de la vaccination post- natale. Les sages- femmes ont fait savoir que le bébé est malade et qu’il a besoin de soins. C’est ainsi que sa mère approché l’Anam (agence nationale d’assistance médicale) implantée à l’hôpital Mère- enfant, le Luxembourg.

Dieu faisant bien les choses, l’Anam a accepté de prendre les frais de consultation et de radiologie. Aussi, ce service s’est engagé à prendre en charge les frais de l’intervention chirurgicale. Par contre, la jeune maman doit prendre à son compte les frais de kits de l’opération servant à aspirer l’eau de la tête de l’enfant.

Mariam n’ayant pas les moyens de faire face à cette prise en charge sollicite les bonnes volontés pour lui venir en aide. Pour tout contact, elle est joignable au 79 22 74 16.

Fatoumata Mah Thiam KONE

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