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A S E Mali : Le centre ‘’Niaber 2’’ au chevet des enfants orphelins et démunis
Publié le jeudi 28 fevrier 2013  |  L’Annonceur




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Le centre social ASE-Mali « Nia ber 2 » de Sébénikoro a abrité le jeudi dernier un point de presse. C’est une ONG dirigée par la directrice et fondatrice Madame Dembélé Maly Sangho dite « Bibi » qui a animé ledit point de presse. L’ONG ASE-Mali a créée depuis 1993. Mais le centre Niaber 2 n’a été érigé qu’en 2007.
Selon la directrice le centre s’engage à communiquer avec les enfants pour tous leurs besoins indispensables pour leur bien-être.
Le centre Niaber 2 de sébénikoro comprend deux chambres constituant des dortoirs pour les bébés, des toilettes, une direction, une salle de réception multifonctionnelle où se trouvent une bibliothèque, une armoire à pharmacie et des tables- blancs pour les élèves ainsi qu’un forage fonctionnel de 5OOO litres d’eau par jour et une crèche. Il y a aussi des médecins volontaires qui les aident en cas de besoin.
Selon la directrice, le centre dispose d’une dizaine d’enfants compris entre O et 2 mois ; une vingtaine de plus de 2 ans et la crèche d’une soixantaine des enfants.
A ses dires, le centre reçoit toute sorte d’enfants, même ceux des personnes handicapées et cela de n’importe quel quartier du pays. Quant aux enfants abandonnés, ils sont référés par les services de l’Etat notamment la brigade de mœurs, la police et la gendarmerie.
Il faut signaler qu’en plus des enfants abandonnés, le centre Niaber 2 reçoit les enfants orphelins de l’un des 2 parents, ceux en situation de détresse, ceux dont les parents ne disposent d’aucune condition de vie, les filles mères, les mineures enceintes abandonnées par leurs conjoints. Ces dernières sont hébergées au centre jusqu’à leur accouchement. Et après leur accouchement, certaines filles sont inscrites à l’école par le centre, d’autres se marient avec le père de leur enfant.
En ce qui concerne les jeunes filles en détresse venues des villages, elles se réfugient dans le centre pour trouver un toi où dormir ; en ce moment elles sont employées au centre.
Selon Mme « Bibi », mère de 7 enfants, son plus grand rêve est de construire une grande maison pour bien s’occuper davantage de ses bébés avec toutes les nécessités possibles. Etant une femme battante dans la vie, « Bibi » est aussi celle qui lutte contre chômage des ses sœurs, afin que tout le monde puisse s’occuper de son propres sort.

Adja

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