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Bulles : L’ancien premier ministre est-il parachutiste?
Publié le vendredi 1 mars 2013  |  Option


© Autre presse
Modibo SIDIBE, ancien Premier Ministre


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Quand on tient compte de son grade de général de la police malienne, il est fort probable que notre ancien premier ministre, Modibo Sidibé, ai pris une formation de parachutiste. Après avoir servi le Mali pendant plus de 20 ans dans la haute sphère de l’administration malienne, notre discret policier national a couronné son expérience administrative par le poste de premier ministre que l’ancien général président ATT lui a offert comme bonne récompense de sa loyauté.
C’est à partir de son fauteuil de patron des ministres que Modibo Sidibé a eu l’ambition d’occuper celui de Président de la République du Mali. Ainsi, l’année dernière, Modibo aurait tenté de se faire une place deux des grandes cours politiques : l’Adema et le Pdes. Ces deux partis politiques avaient de potentiels candidats musclés qui lui ont empêchés d’entrer dans leurs champs politiques. En cette année 2013 aussi, ayant eu les mêmes difficultés à s’infiltrer par voies terrestre dans la cour de l’Adema, Modibo a été bien inspiré. Il a abandonné les routes et ruelles d’accès pour faire un parachutage dans le parti de l’actuel président par intérim, professeur Dioncounda Traoré. C’est le village de Tiouléma dans le cercle de Yanfolila qui a été son lieu de chute pour se doter des documents du parti lui permettant de se présenter au poste de candidat du parti lors de la présidentielle de juillet prochain. Ce lieu qu’il n’a pu fréquenter par la route lui a été accessible par les airs en devenant un parachutiste par improvisation. Bonne chance mon général parachutiste pour le reste du combat.
Des anciennes exciseuses bien récompensées.
Pour avoir définitivement abandonnées leurs couteaux qui leur permettaient de couper les clitoris entièrement ou partiellement, des dizaines de femmes ont été convaincues de recevoir d’importantes récompenses pour cette prise de décision. La somme de 800.000 frcs cfa a été offorte à chacune de ces femmes par la CSTM(Confédération Syndicales des Travailleurs du Mali). En plus, elles bénéficieront d’une réinsertion professionnelle dans des GIE ( Groupement d’Intérets Économiques). Souhaitons vivement que ces femmes ne se cacheront plus pour exercer leur profession d’exciseuses.
Quand Hawoye Touré de l’ORTM confond…
Hawoye, la journaliste présentatrice de journal de l’ORTM a l’expérience du métier. Même si elle avait momentanément arrêté la présentation du journal pour aller travailler dans le même domaine de la communication à l’Ambassade du Mali au États-Unis, elle continue à impressionner de nombreux téléspectateurs.
Ce 21 février, vers la fin de la présentation du journal télévisé de 20 heures, la charmante Hawoye a montré au public la première parution du magazine féminin « Saramaya». Sans être traductrice, Hawoye a donné le sens du mot «saramaya« en ces termes : « Pour ceux qui ne le savent pas, Saramaya, est l’art d’être beau ou belle». Elle a fait une erreur traduction par la confusion entre le sens du charme et de la beauté en Bambara. Pour la petite précision, c’est « Tiènya» qui peut être considéré comme l’art d’être beau ou belle contrairement à «Saramaya» signifiant le charme au masculin comme au féminin. Cette correction est faite pour ceux qui ne comprennent la langue Bambara.

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