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90 000 signatures pour la libération de sœur Gloria, enlevée au Mali
Publié le jeudi 11 mai 2017  |  la-croix.com
Gloria
© Autre presse par DR
Gloria Cecilia
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La Congrégation franciscaine de Marie Immaculée a recueilli 90 401 signatures, à ce jour.

La pétition demande aux autorités d’intensifier les recherches pour trouver Sœur Gloria Cecilia Narvaez Argoti enlevée le 7 février au Mali.

« Nous voulons la libération de Sœur Gloria Cécilia ! » Tel est le titre de la pétition que la congrégation des sœurs franciscaines de Marie Immaculée a fait signer sur Internet demandant à Ibrahim Boubacar Keïta et Roch Marc Christian Kaboré, respectivement présidents du Mali et du Burkina Faso, « d’intensifier toutes les recherches nécessaires pour trouver Sœur Gloria Cecilia Narvaez Argoti ».

La religieuse colombienne franciscaine a été enlevée dans la soirée du mardi 7 février vers 21 heures dans le village de Karangasso, près de Koutiala, à environ 400 kilomètres à l’est de Bamako au Mali. Dans cette contrée située non loin de la frontière burkinabée, les religieuses franciscaines sont en particulier investies dans la lutte contre la famine, et prennent en charge un orphelinat.

Lire aussi: Le plan d’urgence de l’Église pour retrouver la religieuse enlevée au Mali

90 401 signatures

La pétition a recueilli aujourd’hui 90 401 signatures sur les 100 000 exigées pour mobiliser l’opinion dans l’accélération des opérations de ratissage pour repérer la trace du groupe de ravisseurs, alors qu’aucun groupe ni organisation n’a revendiqué la responsabilité de l’enlèvement.

petition.jpgLa pétition le 11 mai à 13 heures> Lien vers la pétition

Deux mois et demi après l’enlèvement de sœur Gloria Cecilia Narváez Argoti, les œuvres de sa communauté à Karangasso sont paralysées, notamment le soin des orphelins, l’enseignement aux femmes adultes, l’alphabétisation et l’infirmerie.

« Prier pour sa libération »

Depuis, les sœurs sont sans nouvelle et l’évêque leur a trouvé un nouveau lieu de vie par peur que les ravisseurs reviennent. Mais toutes les activités du couvent ont cessé. « Nous demandons aux chrétiens de prier pour sa libération et pour celle de tant d’autres chrétiens détenus dans l’Est du Mali », demande instamment sœur Noémie Quesada, supérieure majeure de la congrégation.

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