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Mort d’Abou Zeid : les analyses ADN confirment le décès du chef d’Aqmi au Mali
Publié le samedi 23 mars 2013  |  Atlantico.fr


© Autre presse
Abou Zeid, le responsable d`aqmi qui aurait été tué par l`armée française au nord-Mali.


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Selon Le Monde, Abou Zeid, l’un des principaux chefs d’Al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi) aurait bien été tué lors des opérations menées par les armées française et tchadienne au nord du Mali.
La nouvelle doit encore être confirmée dans la journée de samedi par l’Elysée. Mais selon Le Monde, Abou Zeid, l’un des principaux chefs d’Al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi) aurait bien été tué lors des opérations menées par les armées française et tchadienne au nord du Mali. Le quotidien confirme ainsi l’information révélée en février par le site de la télévision algérienne Ennahar.
D’après Le Monde, qui tient ses informations "de source officielle", la confirmation est venue d’Algérie il y a quatre jours. Des soldats français avaient effectué des prélèvements sur le corps d’un homme portant l’arme personnelle d’Abou Zeid. "Alger disposait de fragments d’ADN familiaux qui ont permis à la demande de Paris, par recoupement, d’identifier formellement l’homme", explique Le Monde.
Depuis le mois de février, l’incertitude régnait sur le sort du jihadiste, rappelle France TV info. Un haut responsable américain avait jugé l’information concernant sa mort "très crédible" et le Tchad avait même affirmé qu’Abou Zeid avait été abattu par ses soldats. L’Elysée s’était de son côté refusé à tout commentaire.
De son vrai nom Mohamed Ghedir, l’Algérien Abou Zeid, 45 ans, est considéré comme l’un des chefs les plus radicaux des groupes islamistes du nord Mali, soupçonné notamment de la prise en otages de nombreux occidentaux, rapporte l’AFP. Petit et maigre, il est apparu pour la première fois en 2003 lors du spectaculaire enlèvement dans le grand sud algérien de 32 touristes européens par le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), ancêtre d’Aqmi.
Ancien trafiquant devenu islamiste radical dans les années 1990 en Algérie, il est notamment soupçonné d’être responsable de l’enlèvement au Niger du Britannique Edwin Dyer, exécuté en juin 2009. Il serait aussi (...)lire la suite sur Atlantico

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