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Discours du président de la République sur la suspension du referendum constitutionnel : pas que des heureux !
Publié le mardi 22 aout 2017  |  La Nouvelle Patrie
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© aBamako.com par A.S
Lancement des festivités du centenaire du Président Modibo Keita
Bamako, le 11 juin 2015, le CICB a abrité la cérémonie de lancement des festivités du centenaire du Président Modibo Keita, c`était sous la Haute présidence de SEM, Ibrahim Boubacar KEITA
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Je m’imagine déjà la tête de ce politique putschiste qui pour croire à son noir dessein pour le Mali tentait de profiter du désaccord que suscita le projet de referendum du président pour se glisser dans la plateforme ANTE A BANA et in fine découvrir sa vraie nature.
L’homme qu’il ne faudrait même pas nommer par décence politique, mu par sa désormais haine viscérale pour le président Keïta, au cours de la toute dernière rencontre des membres du directoire, a osé parler de renversement du président de la République.
C’est vrai que ce jour-là, inconsciemment ou simplement par courtoisie de rassemblement, les cadres connus pour leur esprit républicain et démocratique, n’ont pas eu la présence d’esprit de recadrer ce politique qui est prêt à tout pour avoir sa part qu’il ne peut obtenir que dans le malheur du Mali, des maliens. Il n’a nul besoin de s’imaginer les conséquences incalculables d’un tel scenario pour notre pays. Renverser un président élu au suffrage universel, en plein exercice de son mandat. Cet homme aujourd’hui encore a mal, souffrant de la bouffée d’oxygène apportée par le discours du président de samedi dernier.
Le bonheur que les maliens ressentent avec le recul du président face à son peuple, n’est pas son bonheur à lui et il en souffre atrocement au fond de sa case éclairée de la lueur d’une haine passionnée pour la personne du président de la République, celui- là même que, les maliens ont massivement voté comme jamais personne avant lui. Durant ces longues semaines, dans son très fond, il ne caressait que le funeste rêve d’une insurrection populaire à l’effet de renverser un pouvoir républicain.
Mon dieu, où pourrait – il se trouver maintenant et que vaut la peine noire qu’il maugrée, seul face à son destin qui pendrait avec cette attitude chevaleresque du président de la République, un coup de poignard, un destin politique qui ne luirait politiquement peut être plus?
Sory de Motti
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