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Remaniement ministériel : Quand le Président IBK paralyse le gouvernement
Publié le lundi 16 octobre 2017  |  L’aube
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© aBamako.com par A.S
Lancement des festivités du centenaire du Président Modibo Keita
Bamako, le 11 juin 2015, le CICB a abrité la cérémonie de lancement des festivités du centenaire du Président Modibo Keita, c`était sous la Haute présidence de SEM, Ibrahim Boubacar KEITA
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Depuis presque deux mois, le gouvernement est carrément paralysé à cause des folles rumeurs à propos d’un remaniement ministériel. Et la presse alimente ces rumeurs en diffusant des noms d’éventuels ministres qui seraient sur le départ et ceux qui s’apprêteraient à venir. Dès lors, la machine gouvernementale, déjà grippée, s’est complètement mise à l’arrêt. Cette atmosphère délétère qui plonge le pays dans la paralysie est entretenue par le Chef de l’Etat, lui-même. En effet, comment expliquer l’attitude d’IBK face à ce climat. Ou il change de gouvernement, ou il renouvelle sa confiance à l’équipe en place, cela en toute responsabilité. Un pays se gère avec des actes concrets et non dans le tâtonnement ou l’improvisation !
Droits des travailleurs de l’HUICOMA :



Gros scandale en perspective ?

A Koulikoro, les travailleurs de l’Huicoma sont sur le pied de guerre. Ils demandent le paiement intégral de tous leurs droits et même la réouverture de l’usine. Dans leur combat, ces travailleurs bénéficient du soutien de toute la région. Ainsi les femmes de l’Huicoma et leurs familles projetaient d’organiser, la semaine dernière, une marche sur Koulouba. Cette manifestation a été finalement reportée. Entre temps, l’on apprend que l’Etat avait déjà débloqué un pactole de plusieurs centaines de milliards de franc CFA pour payer les droits des travailleurs de l’Huicoma. Mais, l’argent aurait été détourné. Dans cette affaire, l’on cite le nom d’un ministre qui s’agite actuellement sur le champ politique, après celui syndical…

PMU :

Un réseau de faussaires démasqué

Un réseau de faussaires dans le Pari mutuel urbain (PMU) a été démasqué, le jeudi dernier. La police est aux trousses de ces faux parieurs. Les irrégularités qui ont permis à certains parieurs avec la complicité de certains agents du service de validations des tickets de remporter des dizaines, voire des centaines de millions de francs CFA.

Ce réseau opérait avec de faux tickets et des gains très élevés étaient gagnés par des parieurs. Mais curieusement, ces mystérieux “tickets gagnants” provenaient pratiquement des mêmes points de vente. Il s’agit de kiosques fictifs érigés avec la complicité du personnel.

Mais, grâce à l’informatisation des opérations techniques, ce réseau mafieux a été démantelé. Parmi les personnes arrêtées figurent le directeur d’un département du PMU-Mali et un autre haut responsable. Une série d’arrestations qui devrait se poursuivre, selon des informations proches du dossier. Pour l’instant, au moins huit personnes ont été interpellées. Le scandale qui devrait connaitre de nouveaux rebondissements a déjà fait perdre des centaines de millions de francs CFA à la structure.

Gao :

42 citernes de carburants entrent enfin

C’est le soulagement à Gao, au nord du Mali. Les 42 citernes de carburant en provenance du Niger, qui sont restées bloquées plusieurs jours à la frontière, sur consigne de Bamako, ont été autorisées à entrer en ville vendredi. C’est le nouveau gouverneur de Gao qui a donné le feu vert aux transporteurs, après avoir rencontré plusieurs opérateurs économiques qui avaient décidé d’une opération journée morte à Gao pour protester contre le blocage des camions. Le colonel Sidiki Samaké, qui a pris ses fonctions jeudi, a promis de tout faire pour qu’une solution pérenne soit trouvée à cette question du ravitaillement en carburant de la ville de Gao qui se pose depuis plusieurs mois, depuis notamment la multiplication des attaques et braquages sur l’axe Bamako-Gao.

Côte D’ivoire :

Un avion s’écrase

Un avion de transport affrété par l’armée française s’est abimé samedi en bord de mer, près de l’aéroport d’Abidjan. Bilan : quatre Moldaves tués, deux autres et quatre Français blessés. Parmi les quatre Français à bord, il y avait un civil et trois militaires. « L’avion était en provenance de Ouagadougou et a chuté dans l’eau », a précisé un colonel des pompiers.

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