Accueil    Shopping    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Mali    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article



 Titrologie



L’enquêteur N° 018 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Autres articles


Comment

Politique

MOPEM/JAMANA NYETA : « Le peuple malien n’a plus le droit de se tromper… » Dixit Adama Koly Coulibaly
Publié le mardi 30 avril 2013  |  L’enquêteur




 Vos outils




Le Mouvement pour un autre Mali (MOPAM/ JAMANA NYETA) conduit par son président, Adama Koly Coulibaly, était le mardi face à la presse. Il s’agissait, au cours de cette rencontre avec les journalistes, d’évoquer d’abord les raisons de sa candidature à l’élection présidentielle qui pointe à l’horizon, ensuite de discuter sur l’ensemble des questions touchant à la vie de la nation.
« Depuis 2004, nous avons tiré la sonnette d’alarme en dénonçant les maux qui ont failli emporter notre pays dans les abîmes. Aujourd’hui ayant vécu ce qui vient d’arriver à notre pays, nous devons tirer les leçons de la mauvaise gouvernance, du culte de la personnalité pour bâtir un Mali démocratique fondé sur des institutions fortes ». C’est par ces propos de sagesse que le président du MOPAM/JAMANA NYETA, Adama Koly Coulibaly a tenu à expliquer aux hommes de médias le pourquoi de sa candidature. Il réplique toujours qu’il sera candidat pour soulager tout un peuple et pour la rupture. Puis d’ajouter que le malien avait trop souffert de la mal gouvernance, des pratiques malsaines et autres délinquances financières. Il précise que le combat qu’il mène n’est pas engagé pour son confort personnel et n’est dirigé contre qui que ce soit, mais s’attache à promouvoir l’avènement de la justice sociale par la bonne gouvernance dans notre pays. Jugeant le bilan des pouvoirs précédents, Adama Koly Coulibaly déplore leurs façons de gérer le pays. « Nos ainés ont failli », a-t-il noté. Dans ce cas précis, il prévient que le peuple malien n’a plus le droit de se tromper de choix de l’homme qui doit conduire sa destinée.

Parlant de la tenue des élections à la date indiquée, M. Coulibaly se veut sceptique, mais se dit prêt à se contenter du chronogramme fixé par les autorités de la transition. Soutenant de passage qu’il ne sert à rien de bâcler les élections si c’est pour après se créer des problèmes en replongeant le pays une fois de plus dans le chaos.

Drasco

 Commentaires