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Rebondissement dans l’affaire Hussen Ayad – frères SYLLA a la cour d’appel : Le Libanais Hussen veut défier la justice malienne
Publié le mercredi 25 avril 2018  |  La Sirène
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Après avoir mordu la poussière devant le tribunal du travail, le Libanais Hussen Ayad veut à tout prix gagner devant la Cour d’Appel de Bamako. Le tribunal du travail dans son jugement N°214 du 02 octobre 2017, avait donné raison aux frères Sylla non seulement sur la forme mais aussi sur le fond du dossier.

Le tribunal du travail dans son jugement n°214 du 02 octobre 2017 a reçu en la forme la demande des frères Sylla (T et S), au fond, déclare leur action régulière et bien fondée, et condamne la société, Compagnie Import Export Mali (CIE-Mali) de Hussen Ayad à leurs payer (Droits et dommages intérêts).

Le Libanais Hussen Ayad se sentant humilié en perdant devant le tribunal du travail, veut par tous les moyens (financiers et relationnels) gagner devant la cour d’Appel de Bamako. Selon certaines sources, le Libanais Ayad mise sur deux choses pour réussir son plan machiavélique. D’abord, il a avoué à certaines personnes qu’il a contacté son ami de tout le temps, il parle d’Issiaka Sidibé qu’il appelle affectueusement Isaak le président de l’Assemblée nationale pour qu’il lui vienne en aide. Aussi, il mise sur son coffre fort et un de ses amis libanais pour que celui-ci s’occupe du coté financier. Ayad a également envoyé des émissaires voir un de ses vieux amis, très proche de la famille présidentielle dont nous tairons le nom pour le moment. Alors, qui aurait imaginé qu’un député, à plus forte raison le président d’une institution comme l’assemblée nationale et un proche de la famille présidentielle seraient capable de piétiner deux des enfants dignes du pays au profit d’un libanais sans pitié, qui ne mérite aucun respect ni considération.



Rappelons que ce libanais avait fui de 2014 à 2017 pour s’installer en Mauritanie en laissant derrière lui ses deux employés, les deux frères SYLLA sans aucun moyen financier à leur porté à Bamako.

Dans sa fuite, ce chef d’entreprise Ayad, avait au compte de sa société (Compagnie Import Export Mali : CIE-Mali) des dizaines d’impôts impayés et un prêt non remboursé d’à peu près 100 millions de FCFA contracté auprès d’Ecobank Mali qui s’impatiente qu’il arrive à Bamako pour le mettre en prison.

Nous savons très bien que Ayad a fait appel devant la cour d’appel de manière pas orthodoxe grâce à l’appui de ses amis que nous avons citer plus en haut. Alors, qui aurait aussi croire que sous le régime du président Ibrahim Boubacar Keita, que deux maliens seraient de cette façon malmener par un étranger sur le sol malien avec la complicité de leurs compatriotes, au vu et au su des autorités judiciaires.

Les frères Sylla, approchés par certains activistes et chroniqueurs, comptent organiser une grande marche de dénonciation et d’indignation dont l’itinéraire serait dévoilé le moment venu ici à Bamako pour dénoncer cette situation impossible à gober par un malien digne de ce nom.

Les frères Sylla croient en la justice de leur pays, ils ne veulent pas se faire justice eux même, ils souhaitent simplement que la loi soit dite, qu’ils soient mis dans leur droit. Raison pour la quelle, ils interpellent le ministre de la justice, garde des sceaux pour qu’il agisse vite avant qu’il ne soit trop tard.

Rappelons que les deux frères Sylla ont travaillé pour ce libanais pendant des années.

SYLLA, le frère ainé a travaillé pour la Compagnie Import Export du Mali (CIE-MALI), la société de Ayad pendant 20 ans et son frère S. Sylla 10 ans de service.
Le Libanais Ayad, le directeur général de la Compagnie Import Export Mali (CIE MALI) doit comprendre une bonne fois pour toute que le Mali n’est pas une jungle, mais plutôt un Etat de droit. Un Etat qui ne laisserait personne mépriser, détruire, piétiner, insulter, déshonorer, dénigrer ses citoyens, sans payer le prix fort.

Affaire à suivre

AT, correspondance particulière

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