Accueil    Shopping    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Mali    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article




  Sondage


 Autres articles


Comment

Politique

La campagne pour la présidentielle malienne s’ouvre le 7 juillet
Publié le mardi 28 mai 2013  |  APA


© AFP par GEORGES GOBET
Séance de travail entre le président Dioncounda Traoré et Martin Shultz à Bruxelles
Jeudi 16 mai 2013. Siège de l’UE à Bruxelles. Le président de la République par intérim, Dioncounda Traoré, a rencontré au lendemain de la Conférence des donateurs pour le développement du Mali, le président du Parlement européen, Martin Shultz


 Vos outils




La campagne électorale pour le premier tour de l’élection présidentielle du 28 juillet au Mali s’ouvre le 7 juillet à zéro heure pour prendre fin le 26 juillet à minuit, a-t-on annoncé lundi de source officielle à Bamako.

L’annonce en a été faite, par voie de communiqué, par le gouvernement de transition, à l’issue d’un conseil des ministres extraordinaire présidé dans l’après-midi par le chef de l’Etat intérimaire, Dioncounda Traoré.

Selon le texte, « la campagne électorale à l’occasion du premier tour est ouverte le dimanche 7 juillet 2013 à zéro heure. Elle est close le vendredi 26 juillet 2013 à minuit ».

Quant à la campagne électorale, en cas de second tour, elle sera ouverte dès le lendemain de la proclamation des résultats définitifs du premier tour. « Elle est close le vendredi 9 août 2013 à minuit ».

Elle précéderait un éventuel second tour qui interviendrait le 11 août, a-t-on précisé de même source.

Le premier tour de la présidentielle avait été initialement fixé au 7 juillet. Mais la situation de tension qui persiste dans le nord du pays ainsi que l’état d’impréparation des acteurs avaient rendu quasi-probable le report du scrutin.

Un coup d’Etat militaire a renversé le 22 mars le président malien Amadou Toumani Touré ouvrant une page de transition politique qui se poursuit, en même temps que la sécurisation des régions nord du pays récemment reprises aux groupes islamistes armés.

La présidentielle devrait être suivie de législatives dont la date n’est pour l’instant pas connue. Ce sont au total 44 milliards de francs cfa qui devraient être engagés pour doter le pays de nouvelles institutions, a-t-on assuré de source officielle.

AT/od/APA

 Commentaires