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Tous les résultats officiels définitifs (1992-2013)
Publié le samedi 7 juillet 2018  |  Aujourd`hui
Cérémonie
© aBamako.com par andre
Cérémonie d`Investiture de Ibrahim Boubacar Keita
Bamako, le 04 Septembre 2013 au Centre International de Conference de Bamako (CICB). Le Président Elu de la République du Mali, Ibrahim Boubacar Keita dit IBK a prêté serment devant la cour suprême.
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A l’issue des cinq (5) éditions des compétitions présidentielles, les résultats officiels définitifs ont été proclamés, d’abord, par la Cour suprême (1992) puis par la Cour constitutionnelle depuis 1997. Ces résultats ont consacré l’élection de trois (3) présidents : Alpha Oumar Konaré (1992 et 1997) ; Général ATT (2002 puis 2012) et IBK en 2013. Revoici, en récapitulatif, tous les résultats définitifs des différents scrutins présidentiels organisés au Mali dans le contexte de démocratie pluraliste.

1ère élection présidentielle en 1992 : Alpha Oumar Konaré élu avec 69,01% face à Tiéoulé Mamadou Konaté avec 30,99%

Pour les premières consultations présidentielles du pluralisme démocratique, il y avait 5.106.466 inscrits répartis dans 4.713 bureaux de vote. Au 1er tour (12 avril), il y a eu 1.204.435 votants (soit 23,59% de taux de participation). On a enregistré 32.806 bulletins nuls et 1.171.629 suffrages valablement exprimés. Les neuf (9) candidats en lice ont obtenu par ordre d’importance de voix :

1er Alpha O. Konaré 526.696 voix (44,95%) ; 2ème Tiéoulé M. Konaté 169.971 voix (14,51%) ; 3ème Me Mountaga Tall 133.726 voix (11,41%) ; 4ème Almamy Sylla 110.560 voix (9,44%) ; 5ème Baba Ahib Haïdara 86.404 voix (7,37%) ; 6ème Me Idrissa Traoré 48.016 voix (4,1%) ; 7ème Amadou A. Niangado 47.038 voix (4,01%) ; 8ème Mamadou Maribatrou Diaby 25.267 voix (2,36%) et 9ème Me Demba Diallo 23.951 voix (2,04%).

Au second tour, qui s’est déroulé le 26 avril 1992, le nombre d’inscrits a diminué de 5.106.466 à 4.90.603 électeurs et le nombre de bureaux de vote a évolué de 4.713 à 4.764. On y a enregistré 1.023.291 votants (27,29% de taux de participation). Il y a eu 18.835 bulletins nuls et 20.837 suffrages exprimés). Ce scrutin a mis en compétition les deux premiers du tour précédent. Au finish, le candidat Alpha Oumar Konaré a gagné avec 693.167 voix (69,01%) surclassant son concurrent Tiéoulé M. Konaté (311.289 voix soit 30,99%).

Le Pr Alpha Oumar Konaré est ainsi élu 1er Président de la 3ème République du Mali qui a effectivement commencé avec l’investiture présidentielle du 8 juin 1992. Date à laquelle le chef de l’Etat de la période de Transition démocratique, le Lieutenant-colonel Amadou Toumani Touré (ATT) a passé le relais au nouveau président qui, le même jour, a promu à titre exceptionnel son prédécesseur au grade de Général de brigade.

2ème élection présidentielle en 1997 : Alpha Oumar Konaré réélu avec 84,6% face à Mamadou dit Maribatrou Diaby

Cette compétition s’est tenue dans un contexte particulièrement tendu avec la crise née de l’inorganisation indescriptible du scrutin législatif du 13 avril 1997 sous la coupe de la nouvelle structure Ceni. Chargée de l’organisation matérielle des opérations électorales à la place de l’administration dont les services étaient impliqués à minima, la Ceni n’a pu accomplir cette lourde mission. D’où un cafouillage généralisé qui a négativement impacté ces législatives dérivant sur un climat sociopolitique conflictuel. Une large partie de l’opposition s’est retirée du processus électoral. Les résultats provisoires issus de ces législatives ratées sont conséquemment annulés par la Cour Constitutionnelle qui a ainsi décidé la tenue de nouvelles législatives au mois de juillet suivant. Entre-temps, les tâches de la Ceni sont recentrées et l’administration d’Etat remobilisée. C’est dans cette atmosphère de crise aigüe avec le boycottage de plusieurs candidats déjà positionnés pour la présidentielle, que se déroulent les opérations électorales présidentielles.

Elles se tiennent le 11 mai 1997 avec 5.426.256 inscrits pour 10.146 bureaux de vote. On y a enregistré 1.542.229 votants dont 182.950 bulletins nuls et 257.300 suffrages annulés. Les suffrages valablement exprimés (1.101.979) ont départagé les deux candidats seulement en lice : le Président sortant et l’avant-dernier de la première présidentielle en 1992. Ainsi, avec 1.056.819 voix, le Pr Alpha O. Konaré gagne largement avec 84,6%. Son challenger Mamadou Maribatrou Diaby (qui a déjoué le boycottage des candidats de l’opposition) a obtenu 45.160 voix (4,1%). Avec ces résultats, il n’y pas eu de second tour et le Pr Konaré est reconduit dans ses fonctions présidentielles pour un second et dernier mandat quinquennal.

3ème élection présidentielle en 2002 : ATT élu avec 65,10% face à Soumaïla Cissé avec 34,99%

Après les dix années d’exercice du président Konaré au terme d’un double mandat quinquennal (1992-2002), les électeurs maliens se sont rendus aux urnes pour une succession largement ouverte avec 24 candidats alignés au 1er tour (28 avril) 2002 de l’élection présidentielle. L’une des particularités majeures de ce scrutin est la candidature atypique du Général ATT (qui a pris une retraite anticipée de l’Armée) pour se présenter en candidat indépendant, soutenu par un conglomérat de clubs de soutien organisés en Mouvement Citoyen. Pour cette compétition, on a enregistré 5.476.202 inscrits dont 2.201.154 votants (soit un taux de participation de 38,31%).

Les suffrages valablement exprimés (1.564.776 voix) ont départagé les candidats arrivés dans l’ordre d’importance suivant : 1er ATT 449.176 voix; 2ème Soumaïla Cissé 335.525 voix; 3ème Ibrahim Boubacar Kéïta 329.143 voix; 4ème Tiébilé Dramé 62.493 voix; 5ème Me Mountaga Tall 58.695 voix; 6ème Moussa Balla Coulibaly 50.211 voix; 7ème Choguel K. Maïga 42.469 voix; 8ème Mamadou Blaise Sangaré 34.603 voix; 9ème Mandé Sidibé 31.389 voix; 10ème Ahmed El Madani Diallo 25.584 voix;11ème Daba Diawara 17.156 voix; 12ème Dr Oumar Mariko 13.718 voix; 13ème Dr Madiassa Maguiraga 12.548 voix; 14ème Youssouf Hassane Diallo 12.455 voix; 15ème Modibo Sangaré 11.667 voix; 16ème Me Mamadou Gakou 11.505 voix; 17ème Mady Konaté 11.302 voix; 18ème Modibo Kane Kida 9.722 voix; 19ème Mamadou Maribatrou Diaby 9.101 voix ; 20ème Almamy Sylla 8.851 voix; 21ème Habib ‘‘Guimba Nationak” Dembélé 7.964 voix; 22ème Sanoussi Nanacassé 7.829 voix; 23ème Ibrahima Diakité 6.899 voix; et 24ème Abdoulaye Sogolomba Konaté 6.771.

Aucun des candidats n’ayant pu obtenir la majorité absolue (782.389 voix), un second tour fut organisé le 12 mai 2002 entre les deux premiers concurrents : le Général à la retraite ATT et l’ex-ministre des Finances Soumaïla Cissé. Pour eux, 1.723.210 électeurs ont accompli leur devoir civique. Mais, on a enregistré 1.424.746 suffrages valablement exprimés (29.99% de taux de participation). Le candidat indépendant ATT recueille 926.243 voix (65,10%) devant le porte-drapeau de l’ADEMA-PAS Soumaïla Cissé qui obtient 498.503 voix (34,99%). C’est ainsi que le Général ATT qui, auteur d’un coup d’Etat, avait dirigé le pays sous la Transition Démocratique (mars 1991- juin 1992) signe son retour à la tête du Mali par la voix des urnes. Il devient le 2ème Président élu de la République du Mali.

4ème élection présidentielle 2007 : ATT réélu avec 71,20% au 1er tour

L’originalité connue lors de cette 4ème compétition présidentielle est la candidature de Mme Sidibé Aminata Diallo, professeur d’université, devenue la première femme malienne briguant le fauteuil présidentiel. Elle a réussi là où Mme Hawa Sanogo a échoué en 2002, dans l’incapacité de débourser le cautionnement de cinq (5) millions de Fcfa requis à l’époque pour valider un dossier de candidature. Pour le scrutin du 29 avril 2007, étaient inscrits 6.884.352 électeurs dont 36,24% de taux de participation avec 2.494.846 votants. L’on a finalement retenu 2.265.483 suffrages valablement exprimés pour les huit (8) concurrents en lice.

A l’arrivée, le Président sortant ATT obtient 1.612.912 voix (71,20%) devance de loin les autres candidats dans l’ordre suivant : 2ème Ibrahim Boubacar Kéïta 433.897 voix (19,15%) ; 3ème Tiébilé Dramé 68.956 voix (3,04%) ; 4ème Dr Oumar Mariko 61.670 voix (2,72%) ; 5ème Mamadou Blaise Sangaré 35.776 voix (1,58%) ; 5ème Soumeylou Boubèye Maïga 32.973 (1,46%) ; 7ème Mme Sidibé Aminata PDiallo 12.445 voix (0,55%) et 8ème Dr Madiassa Maguiraga 6.856 voix (0,30).

Etant donné que le candidat ATT a pu recueillir 1.612.912 voix, donc supérieures à la majorité absolue (1.132.742), il est déclaré vainqueur de ce scrutin et ainsi reconduit dans ses fonctions présidentielles pour un second et dernier mandat quinquennal.

5ème élection présidentielle 2013 : IBK élu avec 77,62% face à Soumaïla Cissé avec 22,38%

Ibrahim Boubacar Keïta

Prévue constitutionnellement pour 2012, la 5ème compétition présidentielle n’a pu avoir lieu à la période indiquée à cause de la crise multidimensionnelle occasionnée par le coup d’Etat militaire du 22 mars 2012. La chute du Président ATT à deux mois et demi de la fin de son mandat a causé une rupture de l’ordre constitutionnel ainsi que l’occupation des localités septentrionales (deux tiers du territoire national) soumises aux coups de boutoir des groupes armés au service des mouvements sécessionnistes et narcoterroristes. La normalité constitutionnelle est rétablie quelques semaines après le putsch dont les auteurs et les médiateurs de la Cédéao signent un Accord-cadre le 6 avril 2012. En application de cet Accord, le président ATT démissionne le 8 avril et quatre jours plus tard le président de l’Assemblée nationale le Pr Dioncounda Traoré est investi président de la République par intérim. S’agissant de la situation sécuritaire, les principales villes (sauf Kidal) sous occupation sont reconquises entre janvier et mars 2013 par les Forces de défense et de sécurité maliennes avec l’appui déterminant des troupes françaises de l’Opération Serval.

C’est dans ce contexte favorisé par un Accord dit de Ouagadougou (17 juin 2013) que sont organisées les opérations électorales de la présidentielle. Elles enregistrent 6.829.696 inscrits.

Au 1er tour (28 juillet), 3.345.253 électeurs ont voté (48,98% de participation) et 2.955.264 suffrages sont valablement exprimés pour les 27 candidats alignés au départ. Ils sont arrivés dans l’ordre suivant : 1er IBK 1.175.769 voix (39,79%) ; 2ème Soumaïla Cissé 582.127 voix (19,70%) ; 3ème Dramane Dembélé 286.929 voix (9,71%); 4ème Modibo Sidibé 146.839 voix (4,97%); 5ème Housseini Amion Guindo 140.345 voix (4,75%); 6ème Dr Oumar Mariko 75.875 voix (2,57%); 7ème Choguel K. Maïga 69.767 voix (2,36%); 8ème Cheick Modibo Diarra 63.320 voix (2,34%); 9ème Jeamille Bittar 52.216 voix (1,77); 10ème Me Mountaga Tall 45.384 voix (1,54%) ; 11ème Moussa Mara 45.227 (1,53%) ; 12ème Mamadou Blaise Sangaré 31.803 voix (1,08%) ;13ème Soumana Sako 26.524 voix (0,90%) ; 14ème Oumar Ibrahima Touré 25.235 voix (0,85%) ; 15ème Mme Haïdara Aïssata Alassane Cissé 22.274 voix (0,75%); 16ème Niankoro Yeah Samaké 17.007 voix (0,58%) ; 17ème Konimba Sidibé 16.780 voix (0,57%) ; 18ème Hamed Sow 16.763 voix (0,57) ; 19ème Racine Seydou Thiam 16.153 voix (0,55%) ; 20ème Oumar Bouri Touré 15.738 voix (0,53%) ; 21ème Ousmane Ben Fana Traoré 15.640 voix (0,53%) ; 22ème Cheick Kéïta 14.623 voix (0,49%) ; 23ème Siaka Diarra 14.281 voix (0,48%) ; 24ème Youssouf Cissé 12.258 voix (0,41%) ; 25ème Cheick Boucadary Traoré 9.177 voix (0,31%) ; 26ème Sibiry Coumaré 9.051 voix (0,31%) ; 27ème Alhousseini Abba Maïga 8.159 voix (0,28%).

Du fait qu’aucun de ces candidats n’a pu recueillir la majorité absolue (1.477.633 voix), un second 2ème tour se tient le 11 août 2013. Ce jour-là, le taux de participation a été 45,73% avec 3.123.127 votants. Les suffrages valablement exprimés (3.034.463) ont permis de départager les deux candidats en lice. IBK a ainsi obtenu 2.355.394 voix (77,62%) face à Soumaïla Cissé avec ses 679.069 voix (22,38%). De par ce score final, le candidat IBK devient le 3ème président de la 3ème République. Il est investi à la magistrature suprême du Mali le 4 septembre 2013 pour cinq ans. Ce mandat quinquennal s’achemine vers sa fin. D’où l’élection présidentielle du 29 juillet prochain.

6ème élection présidentielle 2018 : QUI ?

La campagne électorale s’ouvre ce 7 juillet pour un scrutin présidentiel qui présente deux enjeux majeurs : la reconduction du Président IBK ou la réalisation d’une alternance fortement souhaitée par ses principaux adversaires. Ce double défi anime tous les concurrents sur la ligne départ de la course du 1er tour prévu ce 29 juillet. Le fichier électoral récemment audité (sous la garantie de la Francophonie) et validé (par les acteurs maliens) contient 8.000.462 électeurs répartis entre 23.041 bureaux de vote à installer à travers tout le pays et dans nos ambassades et consulats généraux.

Ce scrutin présidentiel mettra aux prises 17 compétiteurs dont les candidatures sont validées par la Cour Constitutionnelle dans son Arrêt N°xxx du 04 juillet 2018. Ils sont dans l’ordre d’enregistrement de leurs candidatures : Ibrahim Boubacar Kéïta, Aliou Diallo, Choguel Kokala Maïga, Harouna Sankaré, Housseini Amion Guindo, Mamadou Oumar Sidibé, Soumaïla Cissé, Dramane Dembélé, Moussa Sinko Coulibaly, Cheick Mohamed Abdoulaye Souad dit Modibo Diarra, Niankoro Yeah Samaké, Modibo Koné, Daba Diawara, Mamadou Diarra, Mohamed Aly Bathily, Mamadou Traoré, Modibo Sidibé, Hamadoun Touré, Modibo Kadjoké, Adama Kané, Kalfa Sanogo, Madame Djénéba N’Diaye, Oumar Mariko, Mountaga Tall

Sources consultées :

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– Ali Cissé : “Mali : Une démocratie à refonder”, L’Harmattan, Paris, 2006 ; 206p.

– Moussa Cissé : “Ibrahim Boubacar Kéïta, un destin d’exception”, L’Harmattan, Paris, 2017 ; 252p.

– Coalition Mondiale pour l’Afrique et Africa Leadership Forum – CERDES : “Le processus démocratique malien de 1960 à nos jours “, Editions Donniya, Bamako, 1996 ; 218p.

– Collectif des Partis de l’Opposition : “Livre Blanc sur les élections générales de 1997 au Mali”, Edition La Ruche à Livres, Bamako, Juillet 1997 ; 71p.

– Conseil Supérieur de la Communication : “Rapport annuel au Gouvernement. 1997 “, Bamako, Mars 1998 ; 152p.

– Djibril Diallo (Sous la direction de) : “Le Mali sous Moussa Traoré”, Ouvrage collectif, Collection Mémoire, Editions La Sahélienne, Bamako, 2016 ; 212p.

– Abdoulaye Diarra : “Démocratie et droit constitutionnel dans le pays francophones d’Afrique noire. Le cas du Mali depuis 1960”, Karthala, Paris, 2010 ; 372p.

– Cheick Oumar Diarrah : “Le défi démocratique au Mali”, L’Harmattan, Paris, 1996 ; 316p.

– Seydou Mamadou Diarrah dit Totoh : “Le Mouvement Démocratique malien. L’itinéraire de l’ADEMA-PASJ : origine et parcours”, Jamana, Bamako, 1996 ; 242p.

– Daba Diawara : “La conquête de l’indépendance et l’édification du nouvel Etat du Mali. Etude documentaire. Tome I”, Editions Tropics, Collection Repères, Bamako, 2010 ; 444p.

– Journal Officiel de la République du Mali : Parutions Février-Mai 1992 ; Mai 1997 ; Avril-Mai 2002 ; Mai 2007 ; Juillet-Août 2013 ; Janvier-Juillet 2018. SGG, Bamako.

– L’Essor quotidien N°12239 du 8 juin 1992.

– L’Essor Edition hebdomadaire N°2028 des 31 mai et 1er juin 1997.

– Le Courrier (bimensuel ACP-CEE), Bruxelles, N°138, Mars-Avril 1993.

– Doumbi Fakoly : “Le Mali sous Amadou Toumani Touré (Acte 1)” Editions Menaibuc, Paris, 2006, 140p et “Le Mali sous Amadou Toumani Touré. Acte 2 : Une histoire de trahisons. La guerre au nord-Mali”, Editions Menaibuc, Paris, 2013 ; 247p.

– El Hadj Hamidou Kassé : “La communication en temps de campagne électorale. Le style ATT”, Panafrika, Dakar, 2010 ; 135p.

– Alpha Oumar et Adam Bâ Konaré : “Grandes dates du Mali”, EDIM, Bamako, 1983 ; 326p.

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– Emmanuel Ngono : “Le président Amadou Toumani Touré et l’expérience malienne du consensus”, L’Harmattan-Congo, 2014, 86p.

– Ouvrage collectif : “Le Mali de 1968 à 1988. Du CMLN à l’UDPM”, AMAP, Bamako, 1988 ; 90p.

– Ouvrage collectif : “Mali 2000”, AMAP, Bamako, 2000 ; 256p.

– Ouvrage collectif : “Notre Mali 1960 – 2010”, AMAP, Bamako, 2010 ; 192p.

– Primature : “Rapport sur l’état de la Transition”, Bamako, Mai 1992 ; 152p.

– Abdoulaye Sékou Sow : “L’Etat démocratique républicain : la problématique de sa construction au Mali”, Editions Grandvaux, Paris, 2008 ; 456p.

– Alex Zaka : “Mali : IBK à la barre” in Diaspora News, Mensuel, Paris, N°44, Septembre 2013, PP.13-14.
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