Face à la future coalition des 17 partis pro-IBK : Les 23 partis de la plateforme FDR revendiquent les ¾ de l’électorat #aBamako

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Face à la future coalition des 17 partis pro-IBK : Les 23 partis de la plateforme FDR revendiquent les ¾ de l’électorat

Publié le mardi 4 juin 2013 | L’Indépendant

© aBamako.com par Mousnabi
Présidentielles 2013: En visite au Ghana, L’ex-premier ministre Modibo Sidibé échange avec la communauté malienne
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Présidentielles 2013

Avec quelque 120 députés et les 4/5 des élus communaux qu’elle revendique, la plateforme FDR qui vient d’être scellée, le vendredi 31 mai 2013, constitue, sans nul doute, la première force électorale du pays. Cela au cas où les clauses de cette alliance seront appliquées à la lettre.

Modibo Sidibé – Soumaila Cissé
C’est une véritable force politique et électorale qui vient d’être lancée pour porter au pouvoir l’un des candidats du FDR.

Avec le PDES également signataire de la plateforme, ajouté aux grandes formations politiques que sont l’ADEMA, l’URD et dans une moindre mesure les FARE de Modibo Sidibé, il est évident que les adversaires du FDR, à savoir les partis de la future coalition pro-IBK, auront du pain sur la planche. Dans la mesure où, au sein de cette coalition seuls l’UM-RDA et le MIRIA pèsent quelque peu en terme de représentativité sur l’échiquier politique et électorale.

D’autre part, dès le premier tour, il est prévu que plusieurs partis, membres de la plateforme, fassent bloc derrière les différents candidats des grandes formations politiques que sont l’ADEMA et l’URD. C’est dans ce cadre que le PDES est présentement en train d’écouter tous les candidats avant de jeter son dévolu sur l’un d’eux. Ce travail d’écoute et de négociations est conduit par les vice-présidents Hamoudi Sidi Ahmed, ancien membre du bureau de la CCIM, et l’ancien ministre d’ATT, Abdoulaye Amadou Diallo.

Depuis la signature de la plateforme, ce n’est plus la grande quiétude dans les rangs de la coalition IBK qui compte, pourtant, selon certaines sources, quelque 17 partis politiques. Mais lesquels ? Voilà toute la question. A part l’UM-RDA et le MIRIA, deux partis historiques sans réel poids sur le terrain, il n’y a, apparemment, pas de formations politiques d’envergure dans ce camp. A part bien, évidemment, le RPM qui se trouve, quasiment, le seul membre significatif de cette coalition en gestation.
Mamadou FOFANA

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