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Kidal : Tensions entre les groupes armés…
Publié le jeudi 6 septembre 2018  |  L’aube
MNLA
© Autre presse par DR
MNLA (Mouvement National pour la Libération de l`Azawad)
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Tensions entre les groupes armés signataires de l’Accord pour la paix dans la région de Kidal. La Coordination des mouvements de l’Azawad accuse la Coalition MSA-Gatia d’avoir exécuté sommairement 4 civils dans la localité de Tiderghen près de Kidal. La Coalition MSA-Gatia réfute ces allégations. Ces violences interviennent une semaine après la publication d’un rapport de l’ONU qui accuse les deux mouvements de violation des droits de l’homme et d’accointances avec les terroristes. La CMA exige de la Coalition MSA-Gatia de traduire les auteurs de ce crime devant la justice comme le recommande le document d’entente signé entre eux en 2017. Selon Mohamed Ould Mahmoud, porte-parole de la CMA, « les éléments de la Coalition étaient au nombre de neuf sur des motos qui arboraient le drapeau du MSA ». Il indique aussi que l’un de ces hommes armés a été identifié par les populations locales comme membre du MSA pendant qu’ils commettaient leur forfait. « Ils ont tué trois personnes sur le coup et blessé plusieurs autres dont un grave qui a, lui aussi, succombé à ses blessures », explique le porte-parole de la CMA. La Coalition MSA-Gatia s’insurge et dément toutes ces allégations. Selon ses responsables « aucun membre du MSA, ni du Gatia, n’est impliqué dans cette attaque et ni dans l’exécution d’un civil». Selon leur porte-parole, Mohamed Ag Albachar, après le rapport des experts de l’ONU qui accuse la CMA, cette dernière veut, à son tour, « salir l’image de leur mouvement, qui œuvre pour ramener la paix et la sécurité dans les régions de Gao et Ménaka ».

Menaka :

Un Casque bleu blessé dans une attaque…

Un Casque bleu a été blessé, le mardi dernier, par des tirs d’obus sur un camp de la Mission de l’ONU à Ménaka, selon de sources de sécurité et administrative.

« Les terroristes ont attaqué à l’aide d’obus le camp de la mission de l’ONU à Ménaka. Un casque bleu a été blessé et il y a des dégâts matériels », a déclaré une source de sécurité… La nationalité du soldat n’a pas été précisée. L’information sur l’attaque a été confirmée par un responsable du gouvernorat de Ménaka. Des “locaux préfabriqués de la mission de l’ONU ont été touchés et endommagés par les tirs d’obus”, a-t-il affirmé. Lundi 3 septembre, « deux véhicules suspects » ont été aperçus à l’est de Ménaka. L’armée malienne aurait tenté sans succès de les intercepter, a-t-il ajouté.», a-t-il dit.

Ansongo :

Un minibus braqué

Un minibus de transport en commun a été la cible d’un braquage par des bandits armés, le lundi 3 septembre dernier, sur le pont d’Ouatagouna. Le véhicule quittait la foire d’Ayerou au Niger. Il a été braqué par deux bandits armés sur des motos. On ne déplore pas de perte en vie humaine, mais le chauffeur a été molesté et les passagers ont été dépouillés de leur argent et téléphones portables.

Otage :

Le fils de Sophie Pétronin espère « aller la voir » bientôt

Sébastien Chadaud-Pétronin, le fils de l’otage Sophie Pétronin détenue depuis plus de 20 mois dans le Nord du Mali, souhaite voir sa mère prochainement. Dans une vidéo publiée au mois de juin dernier, la femme âgée de 73 ans, envoyait un message de détresse à son fils : « viens me voir j’ai besoin de te voir ». Sébastien Chadaud Pétronin espère pouvoir voir sa mère de 73 ans, appelant le gouvernement français à l’« aider dans cette démarche », a-t-il déclaré, le mercredi dernier. Dans une vidéo apparue en juin, dont le contenu n’a pas été intégralement rendu public, l’otage française, originaire de Bordeaux, envoie un message « de grande détresse. Elle est fatiguée, elle est dans un état désespéré », et elle s’adresse à son fils, selon ce dernier, et lui dit « viens me voir j’ai besoin de te voir ». Dans la même vidéo, elle ajoute à l’intention de son fils « si tu peux et si tu le veux, viens passer un moment avec moi je te garantis qu’ils ne te feront rien », a précisé Sébastien Chadaud-Pétronin…

Gao :

Des patrouilles contre l’insécurité

Le Groupe d’autodéfense Ganda-Iso et des patrouilleurs sillonnent, toutes les nuits, les quartiers Djidara et Bagoundié depuis plus de 6 mois. Selon les patrouilleurs, ces deux quartiers sont des nids de braqueurs de moto. Plus d’une dizaine de motos volées ont été enregistrées ces derniers jours.

Tessit :

Les jeunes migrent vers le Koweït

Plusieurs jeunes des régions du nord migrent vers le Koweït pour des emplois subalternes comme gardien, réparateur, chauffeur ou berger. Les frais de transports sont pris en charge par des employeurs à travers des correspondants. Selon ces correspondants, le salaire varie entre 100 mille et 200 mille F CFA.

Chine-Afrique :

Un partenariat de plus en plus renforcé

Le troisième sommet Sino-africain (FOCAC) s’est ouvert, le lundi 3 septembre dernier, à Beijing en Chine. Le renforcement des relations politiques et économiques entre la Chine et les pays africains est au cœur de cette rencontre de deux jours. Le géant asiatique s’est imposé depuis des années comme un partenaire incontournable du continent. Le Président chinois, Xi Jinping est attendu surtout sur les nouvelles actions et mesures de coopération ainsi que sur l’avenir des investissements chinois sur le continent. Pour le Mali, l’un des défis majeurs demeure la sécurité et le développement économique. Ce troisième sommet pose à la fois la question de la présence du géant chinois sur le continent et de l’opportunité qu’offre ce partenariat. Le Mali attend beaucoup de cette coopération Afro-asiatique

Kayes :

La foudre fait un mort

Un mort, plusieurs blessés et des dégâts matériels, c’est le bilan d’une foudre, survenue le dimanche dernier, à Banzana dans la commune rural de liberté Dembaya. Les trois personnes foudroyées ont été évacuées aux urgences. L’un des blessés a succombé et les autres sont en soins.



Kayes :

Pénurie de sable

Plusieurs chantiers n’arrivent pas à être achevés suite à une pénurie de sable. Cette situation qui prévaut depuis près d’une semaine, s’explique, selon les acteurs du secteur, par les difficultés d’extraction du sable suite à la montée du niveau d’eau dans le fleuve Sénégal.

La Rédaction

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