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Mali: l’émissaire de Bamako répond aux détracteurs de l’accord
Publié le vendredi 21 juin 2013  |  Autre presse


© AFP par AHMED OUOBA
Crise Malienne : Ouverture des négociations entre Bamako et groupes touareg
Samedi 08 juin 2013. Ouagadougou. Les négociations entre le pouvoir malien et les rebelles touareg qui occupent Kidal, dans le nord-est du pays, se sont ouvertes sous l’égide de la médiation burkinabè


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Deux jours après la signature de l’accord de Ouagadougou sur la ville de Kidal, l’émissaire des autorités maliennes s’est exprimé devant la presse à Bamako. Tiébilé Dramé s’est évidemment réjoui de la signature d’un accord que personne n’aurait imaginé possible il y a encore quelques mois, entre Bamako et les rebelles touaregs du MNLA. Il a surtout apporté des précisions sur certaines questions qui restent en suspens, et répondu aux détracteurs du texte.

L’accord de Ouagadougou sur Kidal a été signé mardi 18 juin. Les autorités maliennes et les rebelles touaregs du MNLA planchent déjà sur la mise en pratique du texte. Tiébilé Dramé, l’émissaire des autorités maliennes s’est exprimé devant la presse à Bamako pour défendre l’accord et répondre aux questions qui restaient en suspens.

Sur la date du déploiement des soldats maliens à Kidal et sur leur effectif, l’émissaire de Bamako n’a pas voulu devancer le travail de la Commission mixte qui y réfléchit actuellement. En revanche, il a donné sa définition du mot « cantonnement », désigné dans l’accord comme la première phase du « désarmement » des groupes armés : « Cela veut dire qu’un endroit sera trouvé où les éléments des groupes armés qui doivent être désarmés seront confinés. En attendant, on répertorie toutes les armes, et Dieu sait que dans cette partie de notre pays, il y en a ».

Une commission internationale d’enquête

On ne sait toujours pas où, ni combien de combattants, ni s’ils garderont sur eux leurs armes pendant cette phase, mais la réponse est déjà plus précise que le texte qui a été signé. Surtout, Tiébilé Dramé s’est efforcé de répondre aux détracteurs de l’accord, qui dénoncent une porte ouverte à l’impunité : « Je suis désolé, ils n’ont pas lu l’accord. A aucun moment l’accord ne parle de suspension des mandats d’arrêt. Mieux, l’accord dit
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