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Dialogue Politique: le RPM chez Soumi et SBM
Publié le vendredi 18 janvier 2019  |  Info Matin
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© Autre presse par DR
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Le parti Rassemblement pour le Mali (RPM) a entamé, depuis le mardi dernier, une série de rencontres, avec certains partis politiques de l’opposition et de la majorité présidentielle. De sources proches du parti du Tisserand, apprend-on, cette initiative s’inscrit dans le cadre de l’apaisement du climat politique en prélude aux réformes politiques envisagées par le gouvernement.

La série de rencontres, conduite par le président du parti présidentiel, Bokary TRETA, a débuté avec le parti du Premier ministre ASMA-CFP. C’était dans la matinée du mardi dernier, au siège de ladite formation politique en présence des responsables des deux partis membres, de la Majorité présidentielle, regroupée au sein du Regroupement « Ensemble pour le Mali ».

Au lendemain de cette réunion, la même mission s’est rendue au siège du parti de l’Union de la république et la démocratie (URD). M. TRETA et sa délégation ont été reçus par le président Soumaila CISSE accompagné de ses plus proches compagnons, notamment Iba N’DIAYE.

Comme avec l’ASMA-CFP, révèlent les mêmes sources, pendant plusieurs minutes les deux parties ont échangé sur des questions politiques de l’heure. Pour le moment, rien n’a filtré de ces deux rencontres. Mais des proches du président TRETA soutiennent que c’est une dynamique engagée par le RPM afin d’apaiser la tension politique en prélude aux réformes majeures notamment la révision de la Constitution du 25 février 1992, prévues cette année.

Notons que la première tentative de révision de la Constitution, par le régime IBK en 2017, a été combattue par des partis de l’opposition et une partie de la société civile malienne.

Dans le souci d’éviter une tension socio-politique, exacerbée par une crise sécuritaire, dans le pays, le président IBK a décidé de surseoir à l’initiative.

Du côté du gouvernement, ils sont convaincus que cette révision constitutionnelle est incontournable pour entamer les réformes indispensables à la mise en œuvre de l’accord pour la paix. Car, arguent-ils, notre loi fondamentale doit intégrer des dispositions de l’accord pour la paix et la réconciliation nationale.

Sikou Bah

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