Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Art et Culture

Utilisation de drone : un partenariat fécond entre l’association des cameramen : professionnels du Mali et l’entreprise Miniduim Technologie
Publié le mercredi 20 novembre 2019  |  le wagadu
Comment


L’association des cameramen professionnels du Mali a tenu, le mercredi 13 novembre, dans la grande famille Touré de Badagadji, une rencontre avec le concepteur d’un drone au Mali, Zegue Moussa Diarra, directeur de l’entreprise Miniduim Technologie. Avec celui-ci, il s’agissait d’établir un partenariat.

«Agir ensemble pour la renaissance du métier de cadreurs au Mali», tel est le slogan de l’ACPM (l’association des cameramen professionnels du Mali), créée en fin décembre 2017, en vue de rassembler tous les cameramen du Mali afin de valoriser leur métier. De sa création à nos jours, l’ACPM a pu mettre en place quatre bureaux régionaux à Sikasso, Ségou, Koulikoro et Mopti. Et l’installation des bureaux dans d’autres régions est en cours.

Dans son intervention, le président de l’ACPM, Adama Diarra, s’est dit très heureux de recevoir Zegue Moussa Diarra. «Nous sommes les professionnels de l’image, nous avons jugé nécessaire d’inviter M. Diarra afin de tisser un partenariat entre l’association des cameramen professionnels et son entreprise», a-t-il indiqué. Il a souligné le rôle important des cameramen. Avant d’affirmer que sans eux, «rien ne peut marcher». Très confiant, le président de l’ACPM a indiqué que grâce à Zegue Moussa Diarra, tous les cameramen vont se procurer un drone.

Pour sa part, Moussa Zegue Diarra, concepteur de drones civils et militaires et directeur de l’entreprise Minimuim Technologie, a indiqué que la grande famille Touré de Bamako sera témoin d’un partenariat scellé entre l’ACPM et son entreprise. Un partenariat qui sera officialisé dans les prochains jours à travers la signature d’un document.

Il dit travailler afin que tous les membres de l’APCM puissent disposer d’un drone avant la fin de 2020. «Si les cameramen n’existaient pas pour donner âme aux instants à travers les images, c’est sûr et certain que le monde aurait été comparé à un boubou sans pantalon», a-t-il conclu.

Fatim B. Tounkara
Commentaires