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Transition pour une meilleure refondation de l’État: Intégrer nos réalités dans nos analyses et choix
Publié le lundi 18 mars 2024  |  L’Inter de Bamako
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© aBamako.com par I.DIA
Le Monument de l`Indépendance du Mali, à Bamako
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Le territoire est vaste et il est enclavé, à la fois sur le plan intérieur, insuffisance du réseau routier et extérieur absence de façade maritime. Les frontières avec les sept (07) pays limitrophes sont artificielles et séparent des populations ayant les mêmes langues et les mêmes traditions. L’économie est essentiellement rurale: l’agriculture, l’élevage et la pèche occupent la majeure partie de la population et créent la plus grande partie de la richesse nationale. La pauvreté est généralisée, ce qui se traduit par un faible accès aux services sociaux de base comme l’éducation, la santé, l’eau potable. La religion dominante est l’islam.
Les Églises sont à la fois des forces d’opposition et de résistance et de forces de soutien aux pouvoirs politiques cherchant à les instrumentaliser. L’islam noir s’appuie sur le terreau de la pauvreté, de l’exclusion et des frustrations. Les populations parlent une dizaine de langues nationales et la majorité ne sait pas écrire, lire ou parler la langue française devenue officielle.
Selon un membre du Conseil national de transition (CNT), on dénombre au Mali: deux cent vingt-huit (228) partis politiques, 42 000 organisations de la société civile (OSC), sept cent vingt (720) associations religieuses et six cent quarante-cinq (645) militaires fictifs. Une menace réelle qui pèse sur notre pays.

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