Mali : le président Kéita quête de solutions pour l’irrédentisme des rebelles touareg #aBamako

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Mali : le président Kéita quête de solutions pour l’irrédentisme des rebelles touareg

Publié le mardi 22 octobre 2013 | Xinhua

© aBamako.com par A.S
Cérémonie d`investiture de Ibrahim Boubacar Keita
Bamako, le 04 Septembre 2013 au Centre International de Conference de Bamako (CICB). Le Président Elu de la République du Mali, Ibrahim Boubacar Keita dit IBK a prêté serment devant la cour suprême.

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Discours intégral du président IBK à l’ouverture des travaux des assises nationales

- 21/10/2013

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Activités du Président de la République 2013

BAMAKO - Le chef d'Etat malien Ibrahim Boubacar Kéita, en présidant lundi l'ouverture des États généraux de la décentralisation, a indiqué qu'il faut apporter des réponses aux frustrations et l'irrédentisme des rebelles touareg du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) et du Haut conseil pour l'unité de l'Azawad (HCUA).

"Il nous faut apporter des réponses aux frustrations et l' irrédentisme de nos frères touareg", a affirmé le président malien Ibrahim Boubacar Kéita lors de cette rencontre.

Evoquant la crise qu'a connue le Mali en 2012, le président IBK a déclaré que "l'une des causes du cataclysme qu'a connu notre pays est la déliquescence de l'État" et ajouté "notre vision est celle d'un État fort". Cependant, dit-il, "l'État fort n'est pas antinomique des collectivités locales fortes (...)".

Ces assises sur les États généraux de la décentralisation se tiennent à un moment où les rebelles touareg du MNLA et du HCUA, réaffirment leur "volonté pour l'autonomie".

L'objectif général visé par les États généraux de la décentralisation est d'améliorer la gouvernance par l' approfondissement du processus de décentralisation pour un développement équilibré du territoire national.

De façon spécifique, il s'agit à travers ces assises de dégager des orientations claires sur lesquelles l'État peut s'engager pour conduire l'approfondissement de la politique de décentralisation au Mali, ont affirmé les autorités nationales.

Environ 600 personnes prennent part à ces assises sur les États généraux de la décentralisation.

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