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Le ministre algérien des Affaires étrangères en visite à Bamako pour la sécurisation de la bande Sahelo-saharienne
Publié le dimanche 27 octobre 2013  |  Xinhua


© Autre presse par DR
Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra en visite à Bamako pour la sécurisation de la bande Sahelo-saharienne


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Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra a entamé ce samedi une visite de travail de 48 heures à Bamako, au cours de laquelle il a rencontré le ministre malien de la Défense et des Anciens combattants, Soumeylou Boubèye Maïga,.
Au cours de l’audience avec le chef du département de la Défense du Mali, il a été surtout question de la sécurisation de la bande Sahelo-saharienne et d’implication effective de la partie algérienne dans la gestion de particulière de la situation du MNLA et HCUA à Kidal.
« Il n’y a pas de nouveau dossier concernant l’implication algérienne dans la crise sécuritaire au Mali. Nous oeuvrons toujours pour la paix et la sécurité dans la bande sahelo- saharienne », a déclaré en termes diplomatique, le chef de la diplomatie algérienne, à sa sortie d’audience.

« L’Algérie est un partenaire incontournable pour le Mali. Il est important qu’avec le changement intervenu au Mali et l’ évolution de la situation sécuritaire que nous puissions engager une relation bilatérale très forte avec une approche continentale », a souligné le ministre malien Soumeylou Boubèye Maïga.

« L’implication algérienne dans le dossier de Kidal est d’ autant plus importante pour une recherche de solution pérenne, car ce pays n’a jamais fait mystère de son soutien au MNLA depuis le déclenchement des opérations de restauration de l’intégrité du territoire national du Mali. En juillet 2012, lors de la planification des opérations par la force en attente de la CEDAO, les officiers d’état-major algériens avaient émis de sérieux réserves sur l’inscription de Ancardine et MNLA sur la liste des groupes terroristes de Nations-unies, comme ils ont aussi déclaré que l’Algérie n’admettait pas de poursuites de bandits sur son territoire », a expliqué un officier malien.

Le ministre algérien est accompagné par le général Mohamed Bouzit, le chef du service de renseignements, Ammar Belami, le directeur de la communication et Azzouz Baalal, représentant le ministre délégué chargé des affaires magrébines.

La délégation algérienne a aussi rencontré le Premier Ministre malien Oumar Tatam Ly, le ministre malien de la Réconciliation nationale, Cheick Oumar Diarrah.

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