Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Mali    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Société
Article



 Titrologie



Le Zenith Bale N° 1551 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Société

Prévenir le problème d’eau de la période de forte chaleur : Des solutions d’urgence envisagées déjà par le ministère de tutelle
Publié le mardi 26 novembre 2013  |  Le Zenith Bale




 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Le Ministère de l’Energie et de l’Hydraulique, à travers la Société Malienne de Patrimoine de l’Eau Potable (SOMAPEP-SA) met en œuvre des solutions d’urgence en attendant la réalisation du projet structurant de Kabala.


La problématique de l’accès à l’eau potable des populations du Mali en général, et de celle de la capitale en particulier est au centre des préoccupations du Gouvernement du Mali. S’agissant de la ville de Bamako qui compte plus de 2 millions d’habitants, des mesures d’urgence ont été initiées pour atténuer la crise d’eau potable avant la réalisation du projet structurant de Kabala.


L’installation de stations compactes (stations préfabriquées) de production d’eau potable à Missabougou et à Kabala, avec les soutiens financiers de l’Agence Française de Développement et de la Banque Islamique de Développement, font partie desdites mesures d’urgence. Ces stations viendront renforcer celles en exploitation de Bacodjicoroni et de Magnambougou avant la période de forte chaleur.


La mise en route des nouvelles stations permettra d’augmenter la capacité de production de la ville de Bamako de 31.500 m3 d’eau potable par jour, et facilitera l’accès à l’eau potable de plusieurs quartiers de la rive gauche du fleuve Niger.


Il faut toutefois signaler que l’alimentation correcte et durable en eau potable de la ville de la capitale passe par la mise en œuvre du projet d’alimentation en eau potable de la ville de Bamako, à partir de la localité de Kabala. Il s’agit d’un projet de grande envergure qui coûtera en première phase près de 165 milliards de Francs CFA pour une production d’eau potable de 144.000 m3 par jour, ce qui permettra l’accès à près de 1.200.000 personnes. C’est l’un des Projets structurants d’adduction d’eau les plus importants de la sous-région.

A ce jour, la plupart des bailleurs de fonds ont approuvé le financement du projet, et les conventions de financement pour la construction de l’usine de production d’eau potable seront signées au plus tard avant la fin du mois de janvier 2014. Le démarrage des travaux est prévu à partir de 2014 pour une durée de 04 ans.
B. DABO

 Commentaires