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Marche de Soutien au Général Sanogo : Makan Konaté arrêté et présenté au juge
Publié le mardi 3 decembre 2013  |  Maliba Info


© aBamako.com par André
Conférence de presse du Collectif des Patriotes (COPA)
Bamako, le 12 septembre 2013 à la maison de la presse. Le président du Collectif des Patriotes (COPA) , Makan Konaté a tenu un point de presse pour demander aux forces vives du Mali de soutenir le nouveau gouvernement.


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Suite à l’arrestation du Général Sanogo Chef de la Junte, ses fans ont tenté d’organiser une marche de protestation hier pour exiger sa libération immédiate et sans délais et le départ de Soumeylou Boubeye Maiga Ministre de la défense. Du coup, les autorités ont procédé à des interpellations dont celle du président du COPA, Monsieur MAKAN Konaté.

Nous apprenons aux dernières nouvelles que M. Makan Konaté, un des organisateurs de la marche a été arrêté par le commissariat de police du premier arrondissement. Il a été entendu ce lundi par le juge de la commune III pour sa présumée implication dans une tentative d’opposition au pouvoir légitime. Il s’agit de l’appel par lui lancé pour une manifestation en faveur du Général Sanogo.

Contrairement aux attentes, cette marche n’a pu mobiliser monde aussi bien à Kati qu’à Bamako. C’est un groupuscule d’individus qui erraient hier le long du «Boulevard de l’Indépendance». A Kati, ils étaient un peu plus nombreux mais nullement menaçants.

La démobilisation serait due à la levée du mot d’ordre suite au refus des autorités d’autoriser la manifestation. Un communiqué émanant des organisateurs est diffusé sur des radios de proximité, dans la nuit du samedi au dimanche, informait les militants du report de la marche. En tout état de cause, il faut dire que des dispositions étaient prises pour parer à toutes les éventuelles de la part des manifestants lesquels d’ailleurs, ne se sont pas fait prier pour abandonner leur projet.

Selon toute évidence, les ardeurs semblent tombées après les premières heures de d’indignation. Et puis, disons-le franchement : il ne revient pas à la rue d’imposer sa volonté à la justice.
B.S.Diarra

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