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L’insécurité routière et l’occupation anarchique des voies publiques : A quand l’éradication des fléaux qui minent la capitale ?
Publié le mardi 21 janvier 2014  |  Le Pays


© aBamako.com par as
Accident d`un gros porteur sur la route de Kati.
14/08/2012. Kati.


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Il y a eu récemment au Mali 11.447 victimes d’accidents de la route et 72,65% de ces accidents ont eu lieu à Bamako. L’insécurité routière et l’occupation anarchique des voies publiques sont deux fléaux qui minent actuellement la capitale. Alors, à quand l’éradication définitive de ces 2 fléaux ?

La capitale Bamako connait aujourd’hui une forte croissance démographique. Ce mouvement n’échappe pas à des problèmes ; parmi lesquels, le taux élevé d’accident de la circulation. Malheureusement, c’est la jeunesse, fer de lance de la nation, qui paye le plus lourd tribut de ce fléau. Les statistiques confirment, en effet, qu’un nombre élevé de victimes sont les usagers des engins à 2 roues qui se trouvent.

Composé majoritairement de jeunes. Entre 2006 et 2012, il a été enregistré 66.857 victimes dont 4.657 tués. En 2011, on a enregistré 11.447 victimes avec 889 tués. Cette triste statistique de l’Agence nationale de la sécurité routière(ANASER) interpelle tous (décideurs politiques, usagers de la route et autres partenaires techniques du Mali).

En effet, les causes de la circulation sont multiples. Elles ont pour nom : la méconnaissance de code de la route par la plupart des usagers ; l’inadaptation des infrastructures routières ; l’état désastreux des véhicules ; le non-respect des visites techniques ; la multiplication des auto-écoles dont la plupart ne sont pas en règle.

A tous ces maux, s’ajoute l’occupation anarchique de la voie publique au vu et au su de tout le monde. Et face à tous ces problèmes, il est important de souligner l’incapacité de l’Etat à trouver définitivement des solutions durables.
Et pourtant, il y a des textes qui régissent la circulation routière au Mali. Leur respect pouvait limiter une telle statistique de cas d’accidents.
En tout cas, il est vraiment temps qu’IBK et son Gouvernement diagnostiquent le mal en vue de trouver les remèdes rapides pour éradiquer ces 2 fléaux qui minent actuellement la capitale.
Aliou Agmour Touré

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