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Mali : IBK ne veut toujours pas comprendre qu’il n’est qu’en « présidence surveillée » (2/3)
Publié le mardi 18 fevrier 2014  |  http://www.lynxtogo.info


© aBamako.com par A.S
Cérémonie d`investiture de Ibrahim Boubacar Keita
Bamako, le 04 Septembre 2013 au Centre International de Conference de Bamako (CICB). Le Président Elu de la République du Mali, Ibrahim Boubacar Keita dit IBK a prêté serment devant la cour suprême.


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Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) se veut « le » président de la République malienne. Sans aucune réserve. Y compris dans la résolution de la situation qui prévaut au Nord-Mali. C’est une « crise malo-malienne » ne cesse-t-il, désormais, de souligner. Heureux de l’entendre maintenant que la France a sauvé la mise de Bamako en s’engageant militairement (et massivement) sur le terrain voici tout juste un an et devant s’y maintenir pour un long moment encore. Dans cette volonté de ne rien devoir à ceux qui lui ont permis d’accéder au pouvoir, IBK a entrepris de diversifier ses partenaires. En jouant des ambitions géopolitiques des uns et des autres.

Mali : IBK ne veut toujours pas comprendre qu’il n’est qu’en « présidence surveillée »

A commencer par l’Algérie, son grand voisin du Nord (cf. LDD Spécial Week-End 0616/Samedi 1er-dimanche 2 février 2014). Pour Alger c’est un jeu diplomatique délicat. Bamako et Rabat sont en étroite connexion. L’Algérie a été, par ailleurs, partie prenante dans l’accord préliminaire de Ouagadougou (18 juin 2013) qui a permis d’organiser la présidentielle malienne. Et puis la France, présente militairement sur la frontière Sud de l’Algérie, est un partenaire qu’il convient de ménager. IBK a été voir, également, du côté de la Mauritanie et du Qatar. La Mauritanie, on s’en souvient, n’avait pas été soucieuse de la souveraineté malienne au temps de Amadou Toumani Touré (ATT) et ses forces armées n’hésitaient pas à poursuivre les groupes « terroristes » sur le terrain de son voisin.
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