Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Mali    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article




  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Politique

Annonce d’un nouveau round de discussions entre Bamako et les groupes rebelles
Publié le mercredi 12 mars 2014  |  APA


© Présidence du Faso par DR
Le président du Faso a accordé une audience aux responsables de groupes armés du Nord-Mali
Samedi 5 octobre 2013. Ouagadougou


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Le gouvernement malien et les groupes rebelles du nord entrent jeudi dans un nouveau round de négociations préparatoires à des pourparlers de paix inclusifs dans le pays, a-t-on appris mercredi de source onusienne dans la capitale malienne.

La rencontre, prévue à huis clos et sur une durée de deux jours, va se dérouler dans un réceptif de Bamako, en présence de représentants de la communauté internationale.

Elle portera essentiellement sur le retour de l'administration et la reprise des services sociaux de base dans le nord du pays ainsi que sur l'état de mise en œuvre de l'Accord préliminaire de paix signé le 18 juin à Ouagadougou.

Cette rencontre informelle constituera la troisième du genre après notamment celle des 13-14 février qui avait permis de relancer un processus de paix en suspens depuis fin 2013.

Cette première rencontre des 13-14 février avait été suivie le 18 février d'une seconde rencontre qui avait, elle, abouti à l'adoption d'un plan de travail sur le mode opératoire du cantonnement des groupes armés.

Ce cantonnement devrait constituer la première étape d'un processus de Désarmement, Démobilisation et de Réinsertion socioéconomique (DDR) auquel auraient souscrit les groupes armés.

Entre Bamako et ces groupes armés, la série de rencontres avait débuté après l'appel d'une mission du Conseil de sécurité des Nations Unies exhortant à l'organisation, dans les plus brefs délais, d'un dialogue inclusif dans le pays.

Ce dialogue inclusif, soutenu par la communauté internationale, est consigné dans l'accord préliminaire de paix que les deux parties -gouvernement et groupes rebelles- ont conclu le 18 juin à Ouagadougou, au Burkina Faso.

Samedi, le président malien Ibrahim Boubacar Keïta a réitéré son engagement à appliquer les termes de cet accord, soulignant qu'il ne l'avait pas lui-même signé mais qu'il l'endossait au nom de la continuité de l'Etat.

-

 Commentaires