Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Mali    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article



 Titrologie



L’Indicateur Renouveau N° 1684 du 19/3/2014

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Politique

Transfèrement du capitaine Sanogo à Sélingué : L’instruction répond aux avocats de Sanogo
Publié le vendredi 21 mars 2014  |  L’Indicateur Renouveau


© aBamako.com par I.DIA
Déclaration conjointe du Mouvement Arabe de l`Azawad et de la Coordination des Mouvements et Forces Patriotiques de Résistance
Bamako, le 12 septembre 2013 à la maison de la presse de Bamako. Fidèles aux termes de leur déclaration conjointe à Ouaga du 13 juin 2013, et à leur engagement, librement pris dans l`accord de Ouaga du 18 juin, le MAA et la CM-FPR se disent prêt à respecter l`intégrité nationale et la souveraineté du Mali.


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Le transfèrement du capitaine Amadou Sanogo à Sélingué, incarcéré le 2 novembre 2013 dans l’affaire de disparition forcée de militaires, donne lieu à une passe d’armes entre le Tribunal de la Commune III et les avocats du chef des putschistes en grève de la faim depuis le mercredi soir.

On assiste désormais à une passe d’armes entre le Tribunal de la Commune III et les avocats du chef des putschistes en grève de la faim depuis le mercredi soir pour protester son transfèrement à Sélingué le week-end dernier.

« Pour protester contre son transfèrement, en réalité une déportation à Sélingué, mon client a entamé une grève de la faim mercredi soir », a déclaré l’avocat Me Toureh Harouna.
Une allégation battue en brèche par l’instruction. A nos confrères de l’AFP, un proche collaborateur du juge Yaya Karembé, chargé de l’instruction du dossier de la disparition forcée des militaires, qui est à l’origine de l’incarcération de Sanogo et de plusieurs de ses hommes pour « complicités d’enlèvement, enlèvement et assassinats » riposte en soutenant qu’il s’agit d’un transfèrement « tout à fait légal ».
Y. C.

 Commentaires