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Banque Atlantique Mali, exercice 2013 : Un résultat net d’exploitation de 2, 12 milliards de FCFA pour une croissance de 39%
Publié le jeudi 27 mars 2014  |  Le 22 Septembre


© aBamako.com par mouhamar
Présentation du Rapport d`activités 2013 de la Banque Atlantique-Mali
Bamako, le 25 mars 2014. Hôtel Radisson. Le DG de la Banque Atlantique-Mali, M. Niamé TRAORE a tenu un point de presse au cours duquel il a présenté le bilan de l`exercice 2013 de la Banque.


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Le Directeur général de la Banque Atlantique Mali, Niamé Traoré, a animé une conférence de presse, le mercredi 25 mars 2014, à l’Hôtel Radisson. Objectif: briefer les hommes et les femmes des média sur les bonnes performances réalisées par sa banque au cours de l’exercice 2013.

Il était assisté de presque tout son staff, notamment de Gaoussou Mariko, Coulibaly Idrissa, Kalilou Fofana, Moussa Touré et Afo Amadou. Grâce à son partenariat avec le Groupe Banque Populaire du Maroc, a confié le Directeur Général Niamé Traoré aux journalistes, la Banque Atlantique Mali, au terme de l’exercice 2013, a réalisé de bonnes performances.
L’analyse des comptes sociaux, a-t-il affirmé, révèle que, malgré la persistance des effets de la crise que le pays a traversée en 2012, la Banque Atlantique Mali, sur la base d’orientations bien définies, a renforcé son dynamisme commercial en termes de dépôts de la clientèle, dont le total s’élève à 113 milliards 255 millions de FCFA contre 85 milliards 250 millions de FCFA pour l’exercice précédent.

Soit une croissance de 33%, contre 11% pour le marché, et un résultat d’exploitation de 4 milliards 629 millions FCFA, soit une augmentation de 32%. Le résultat net, a-t-il indiqué, est de 2 milliards 119 millions de FCFA.

Et le DG de relever que l’effort de collecte de dépôts auprès de la clientèle s’est renforcé, ce qui, selon lui, a permis à sa banque de consolider sa position de 7ème rang sur 13 banques en termes de dépôts et de dégager 6,7% de parts de marché.
L’accroissement des dépôts, a-t-il indiqué, résulte du renforcement de ses relations d’affaires avec les principaux clients institutionnels de la place et de l’optimisation de son large réseau de proximité, vecteur de son implication constante dans la bancarisation des ménages.

La Banque Atlantique Mali a poursuivi son engagement soutenu pour le financement de l’économie nationale, à travers les crédits consentis à la clientèle, qui s’établissent à 113 milliards 50 millions FCFA contre 77 milliards 113 millions de FCFA en 2012.
Concernant les actions sociales, le DG Niamé Traoré a indiqué que, dans le cadre de la motivation et de la fidélisation du personnel, la Direction Générale avait ouvert une ligne de crédit de 500 millions de FCFA en vue de l’octroi de prêts immobiliers aux employés performants.

Un partenariat stratégique et de belles perspectives
Niamey Traoré a souligné que l’exercice clos au 31 décembre 2013 marquait le premier exercice complet du groupe Banque Atlantique en tant que partenaire du Groupe Banque Centrale Populaire du Maroc (BPC – Maroc). L’accord de partenariat stratégique conclu porte sur le développement des activités bancaires dans sept pays de l’Union Economique et Monétaire Ouest africaine (UEMOA).
Grâce à ce partenariat, la banque va renforcer sa capacité de financement de l’économie et entend faire de la satisfaction des clients une préoccupation majeure. Ce partenariat, a-t-il affirmé, a été renforcé suite à la visite effectuée par SM le Roi Mohamed VI.

Ainsi, la Banque Atlantique a été sollicitée, dans le cadre de la mise en œuvre de plusieurs accords de coopération signés entre le Mali et le Royaume Chérifien, notamment: la construction de logements sociaux en faveur des forces armées et la mise en place d’un programme de microfinance pour l’inclusion financière des populations à faible revenu.

En réaction aux questions des journalistes, il a déclaré: «au départ, on n’avait pas de politique de communication. Au démarrage de nos activités, on a eu quelques difficultés, malheureusement les critiques n’étaient pas fondées. Aujourd’hui, les performances sont là».

Concernant la microfinance, il a expliqué que l’étude allait être lancée et le projet fixé à 18 mois. «On va bénéficier de l’expérience marocaine. Ce sera moins exigeant que les banques» a-t-il assuré.

Pierre Fo’o Medjo

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