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Au Mali, la libération de cinq humanitaires locaux
Publié le vendredi 18 avril 2014  |  RFI


© Autre presse par DR
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR)


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L'information est tombée ce jeudi soir dans un communiqué commun des présidences maliennes et françaises. Cinq Maliens, dont quatre employés du Comité international de la Croix-Rouge au Mali, ont été libérés, sains et saufs.

Les cinq humanitaires maliens, capturés le 8 février dernier par un « groupe terroriste », ont été libérés lors « d'une action des forces armées françaises » dans la matinée au nord de Tombouctou, indique le communiqué. « Quatre d'entre eux sont des employés du Comité international de la Croix-Rouge », mais tous sont des Maliens.

Les présidents français et malien François Hollande et Ibrahim Boubacar Keïta indiquent que les ex-otages « sont en bonne santé ».

Pour le moment, peu de détails sont disponibles sur les circonstances de cette libération. Rien non plus sur le contexte de cette intervention des soldats français : il semble que cette opération n'avait pas pour objectif premier la recherche des otages. Le CICR a d'ailleurs toujours refusé une telle intervention militaire jugée trop dangereuse pour la vie de leurs personnels. Les militaires français ont déjà opéré plusieurs missions anti-jihadistes dans ce vaste secteur désertique du nord de Tombouctou.

La revendication du Mujao remise en question

Actuellement, les cinq ex-otages seraient toujours avec les militaires français et rejoindraient la ville de Gao. Ils seront rendus demain aux responsables du CICR.

Les cinq Maliens avaient été kidnappés dans leur véhicule siglé CICR qui rejoignait Gao depuis Kidal. Le Mujao avait alors très vite revendiqué cet enlèvement par une communication téléphonique. Mais ce jeudi soir, plusieurs sources nuancent cette revendication, privilégiant une action d'un groupe d'individus plutôt que celle d'un mouvement terroriste identifié.

Une preuve de vie avait été transmise à un journaliste à Bamako sans que ces photos ne parviennent aux responsables du CICR.

... suite de l'article sur RFI


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