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L’Essor N° 17664 du 25/4/2014

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Lutte contre le paludisme : L’invitation au comportement de prévention
Publié le lundi 28 avril 2014  |  L’Essor


© aBamako.com par A.S
Santé: Journée mondiale de lutte contre le paludisme
Bamako, le le 25 avril 2014 au CICB. Moussa MARA a présidé la Journée mondiale de lutte contre le paludisme


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Elle passe par l’utilisation de moustiquaires imprégnées d’insecticide, le traitement préventif intermittent à la sulfadoxine pyriméthamine chez la femme enceinte, la pulvérisation intra-domiciliaire, la chimio-prévention du paludisme saisonnier chez les enfants .

A l’instar de la communauté internationale, notre pays a célébré vendredi la 7è édition de la Journée mondiale de lutte contre le paludisme. Cette journée consacre également le lancement de la Semaine nationale de lutte contre ce fléau.

La cérémonie, présidée par le Premier ministre Moussa Mara, s’est déroulée en présence de membres du gouvernement dont le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Ousmane Koné, du représentant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans notre pays, le Dr Ibrahima Soccé Fall, et de nombre d’invités.

La Journée mondiale de lutte contre le paludisme permet de faire le point de la lutte contre ce fléau endémique dans les pays en développement, notamment ceux du continent africain, mais aussi de renforcer la mobilisation des différents acteurs de la lutte contre le paludisme. Elle crée également un cadre de concertation et d’échanges sur les préoccupations essentielles liées à la maladie, principalement dans le domaine de la prévention, de la prise en charge et de la recherche sur les vaccins.

Il y a aujourd’hui dans les pays africains, une volonté politique affichée de s’employer à circonscrire le phénomène et à préserver les couches les plus vulnérables - les enfants et les femmes enceintes – de ses conséquences parfois dramatiques. Dans notre pays, le paludisme reste aussi une préoccupation de santé publique. Il constitue un fréquent motif de consultations dans nos établissements de soins et une perte économique considérable pour le pays. A en croire les statistiques nationales, il représente 39% des consultations externes et un manque à gagner de 72 milliards de Fcfa.
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