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La lutte contre le terrorisme au centre d’une rencontre à Ouagadougou
Publié le mercredi 7 mai 2014  |  APA




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Ouagadougou (Burkina) - La capitale burkinabè, Ouagadougou, a abrité ce lundi l’ouverture d’un atelier sur la prévention de l’extrémisme violent au Burkina », initié par le groupe de travail Sahel du Forum global de la lutte contre le terrorisme (FGLT).

A l’ouverture des travaux, le ministre burkinabè de l’Administration territoriale et de la Sécurité, Jérôme Bougouma, a souligné que « le Burkina Faso reste un pays stable et sûr, mais nous gardons une vigilance accrue sur la menace terroriste et l’extrémisme violent ».

Selon le ministre, le gouvernement burkinabé est préoccupé par l’insécurité liée à la persistance des attaques à main armée dans certaines régions, à la récurrence du vol de bétail et à la compétition sur les ressources naturelles qui alimentent des conflits communautaires d’une violence parfois dramatique.

« C’est pourquoi des efforts sont fournis par le gouvernement et les force de défense afin de renforcer les actions et les acquis en termes de paix, de stabilité et de sécurité », a-t-il dit.

La rencontre de Ouagadougou est une initiative du gouvernement du Burkina Faso en collaboration avec le gouvernement du Danemark.

L’objectif du Forum global de la lutte contre le terrorisme (FGLT) est de collaborer avec les pays du Sahel dans le renforcement de leurs capacités civiles de lutte contre le terrorisme.

De son côté, l’ambassadeur du Danemark au Burkina, Bo Jensen, a reconnu que bien que le terrorisme ne soit pas une nouvelle menace pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel, les derniers développements intervenus au Mali et au Nigeria font du terrorisme et de l’extrémisme violent, une préoccupation pour la région.

C’est dans ce sens que les gouvernements du Burkina Faso et du Danemark ont commandité une étude sur les moteurs de l’extrémisme violent au Burkina Faso.

L’étude, menée par le Centre mondial sur la sécurité coopérative (CMSC) et le Centre pour la gouvernance démocratique (CGD) du Burkina, a été présentée au cours de l’atelier.

ALK/od

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