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La MINUSMA, l’UA, la CEDEAO et l’UE condamnent les affrontements de Kidal
Publié le lundi 19 mai 2014  |  Xinhua


© aBamako.com par atapointe
Clôture de la 44 eme session de la CEDEAO à Yamoussoukro
La 44 eme session ordinaire de la CEDEAO a pris fin ce 29 mars 2014 avec le passage du relais du président Ouattara au président Mahamat du Ghana.


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BAMAKO - La MINUSMA, l'Union africaine (UA), la CEDEAO et l'Union européenne (UE) "condamnent fermement les affrontements violents (entre les forces armées maliennes et les rebbelles touaregs) à Kidal (nord du Mali), ainsi que la prise des bâtiments administratifs, y compris le Gouvernorat", indique un communiqué publié dimanche par la MINUSMA.

"Ces actes constituent une violation grave de l'accord préliminaire signé le 18 juin 2013 à Ouagadougou" entre le gouvernement malien et les groupes armés du MNLA et du Haut conseil pour l'unité de l'Azawad, et "entravent les efforts visant à la paix et la sécurité des régions du Nord, en particulier Kidal", poursuit le communiqué.

Ces affrontements qui ont pour origine l'opposition des combattants du MNLA à la visite, samedi, du Premier ministre malien Moussa Mara à Kidal, ont fait deux blessés graves par balle et 21 blessés parmi ses FPU (Formed Police Unit) du côté de la MINUSMA.

Pour sa part, le gouvernement malien a affirmé que l'armée malienne a "enregistré huit morts et 25 blessés tandis que 28 morts et 62 blessés ont été dénombrés du côté des agresseurs".

"Nous regrettons les actes de violence visant le personnel des Nations unies ainsi que la destruction de son matériel lors du soutien que la MINUSMA a apporté aux Forces de sécurité maliennes pour la sécurisation et les déplacements du Premier ministre et sa délégation", ajoute le communiqué.

Les organisations internationales "exhortent la retenue et l'abstention de tout recours à la violence qui risque de mettre en péril la population civile", indique le communiqué.

"Nous encourageons le dialogue le plus rapidement possible afin d'assurer la sécurité à Kidal. Pour une solution durable aux problèmes du Nord, il n'y a pas d'alternative à une solution pacifique", conclut le texte.

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