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Le Maroc inquiet face à la "détérioration" de la situation au Nord-Mali
Publié le mercredi 21 mai 2014  |  Afrik.com


© aBamako.com par mouhamar
Coopération Mali-Maroc : 17 conventions signées
Bamako, le 20 février 2014. La signature de conventions de partenariat entre les gouvernements et les opérateurs économiques du Mali et du Maroc, sur plusieurs secteurs d’activités identifiés, a eu lieu ce jeudi dans la salle des banquets du palais présidentiel. Photo: IBK et le Roi du Maroc.


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Le royaume du Maroc s’est dit inquiet face à la « grave détérioration » de la situation dans le nord du Mali, et a appelé l’ensemble des parties à dialoguer.

Le Maroc a exprimé lundi sa « vive inquiétude » suite aux violents affrontements qui ont opposé ce week-end l’armée et les rebelles touaregs au nord du Mali. Etant donné la « grave détérioration » de la situation dans cette zone, les autorités marocaines ont appelé les parties au dialogue.

Cette nouvelle vague de violences a fait une trentaine de morts. En réaction, Bamako a envoyé des renforts à Kidal, fief des rebelles touaregs. Une trentaine de fonctionnaires avaient par ailleurs été pris en otage par les rebelles, avant d’être libérés ce lundi soir.

Le Maroc, qui s’est imposé comme l’un des médiateurs dans le dialogue inter-malien, a « vigoureusement » condamné « les actes de violence », ainsi que la prise d’otages, a indiqué le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué, cité par l’agence officielle MAP. Le texte dit que le Maroc s’est « engagé de manière tangible et crédible pour le retour de la paix », et exhorte « toutes les parties maliennes à la retenue » et en appelle à un « retour rapide et sans conditions au calme », ainsi qu’à « l’esprit de dialogue et de compromis ».

Le souverain marocain, qui s’était rendu à deux reprises à Bamako au cours de l’année écoulée, avait reçu, en janvier dernier, le secrétaire général du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA). Mohammed VI avait alors demandé à Bilal Ag Achérif de « rester ouvert au dialogue politique » avec Bamako.

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