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Économie

Vers plus d’investissements privés pour financer le Projet électrique de Banda en Afrique de l’Ouest
Publié le vendredi 30 mai 2014  |  Banque Mondiale


© aBamako.com par DR
Economie : Visite du vice-président de la Banque Mondiale, Makhtar Diop
Lundi 18 mars 2013. Mali. Le vice- president de la Banque Mondiale, Makhtar Diop rencontre les ministres des finances et les ambassadeurs. Photo : Makhtar Diop.


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WASHINGTON – Le Conseil des administrateurs du Groupe de la Banque mondiale a approuvé une garantie de 261 millions de dollars pour le Projet Banda de production d’électricité à partir du gaz en Afrique de l’Ouest.

Cette aide financière gérée par l’Association internationale de développement (IDA), institution de la Banque mondiale chargée du financement concessionnel, bénéficiera à la Mauritanie (130 millions de dollars) au Sénégal (99 millions de dollars) et au Mali (32 millions de dollars).

À cela, s’ajoute une garantie des investissements de 585 millions de dollars assurée par l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA).

Ce projet produira à terme 300 mégawatts d’électricité à partir de l’exploitation de gisements marins de gaz naturel au large de la Mauritanie. Il fournira ainsi une électricité abordable, fiable et durable aux foyers, entreprises et exploitants miniers mauritaniens et permettra d’exporter une partie de cette production au Mali et au Sénégal.

« Les pays d’Afrique ne seront pas en mesure de créer des emplois et offrir des opportunités aux jeunes sans accès adéquat à une énergie peu coûteuse, fiable et propre. » a souligné Makhtar Diop, vice-président de la Banque mondiale pour la région Afrique. « Ce mécanisme de garanties sans précédent, permet de mobiliser 950 millions de dollars d’investissements privés au profit de l’extraction de gaz et de la production d’électricité, tout en favorisant les échanges d’électricité entre la Mauritanie, le Sénégal et le Mali ».

Ces trois pays connaissent en effet une augmentation constante de leur demande d’électricité. Au Sénégal, le manque d’électricité engendre une perte de croissance de l’ordre de 2%. Cette demande est satisfaite par un recours croissant à une énergie produite à partir de combustibles liquides, qui s’avère coûteuse et polluante. Ces coûts élevés de production ne permettent pas aux fournisseurs d’électricité
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