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Gouvernement d’Union nationale : Le FMR conteste le gouvernement
Publié le lundi 27 aout 2012  |  L'Indicateur Renouveau




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Depuis le lundi 20 août 2012, le chef du gouvernement, Cheick Modibo Diarra a proclamé sa nouvelle équipe gouvernementale, celle qui doit dans un premier temps recouvrer l’intégrité territoriale et organiser des élections libres transparentes et crédibles. Mais en faisant la radioscopie de l’architecture gouvernementale, nombreux sont ceux qui attestent qu’elle n’est pas équilibrée ni inclusive, comme souligne certaines organisations politique et de la société civile.
Elle est certes différente de l’ancienne par sa taille, puisque qu’elle a eu un rajout de 13 nouvelles têtes qui sont reparties entre 4 organisations à savoir : 4 pour le FDR, 2 pour la Copam, 3 pour la CSM, 2 pour IBK-Mali 2012 alors que le Coren, le HCI, et le CNRDRE ont chacun un représentant. Mais en faisant une analyse critique de cette repartions, on se rend compte qu’elle n’est qu’une petite ouverture envers des regroupements politiques et de la société civile.
Des organisations oubliées
Dans la formation du nouveau gouvernement les organisations politiques comme le front pour le Mali et la République(FMR), l’ADPS et le FDRP-Maliko sans oubliés certains groupements de la société civile ont été mis à l’écart, malgré qu’elles ont été consultées par le président de la République par intérim et ayant été priés d’envoyer leurs CV. Cette discrimination envers ses organisations politique a suscité beaucoup de commentaire dans notre arcane politique.
En tout cas, le Front pour le Mali et République (FMR) n’entend pas faire cadeau à cette distinction politique faite par le président de la République par intérim, Pr. Dioncounda Traoré et son chef de Gouvernement, Cheick Modibo Diarra, comme l’a si bien dit son secrétaire général, Amadou Tiéman Sangaré, également président du parti de l’Union pour la paix et la République. Il a dénoncé la discrimination faite à leur égard. Il poursuit que le FMR et les autres organisations tenues à l’écart ont toujours fait de cette crise institutionnelle un combat personnel et ont apporté leur plan de sortie de crise. Pour lui, ce gouvernement devrait être source de réconciliation et de rassemblement des acteurs politiques en particulier les et les Maliens en général autour de l’essentiel. Ce gouvernement remet en cause tout un acquis et le FMR ne reconnaitra pas ce gouvernement, a-t-il précisé.
Le secrétaire général a affirmé également que son mouvement ne croisera pas les bras face à cette discrimination politique et par conséquence ne participera pas à la concertation nationale prônée par le Premier ministre. Dans les jours à venir il compte organiser une marche de protestation pour manifester sa position.
Pour conclure le secrétaire général du FMR, Amadou Tiéman Sangaré dit ne pas comprendre qu’on puisse consulter un regroupement pour la mise en place d’un gouvernement, lui demander d’envoyer ses CV et le ridiculiser enfin de compte.
Nabila Ibrahim Sogoba

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