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De vous à moi : Honte aux anti – CEDEAO
Publié le vendredi 7 septembre 2012  |  La Nouvelle Patrie




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L’occupation de la ville de Douentza samedi dernier et la menace de la chute de Mopti ont ramolli bien de quenottes acérées. Le Mali, notre pays a soudainement découvert des ultras révolutionnaires seulement à la faveur de la chute d’ATT, des personnes qui avaient accepté de faire avec dix longues années. C’est presque, toutes ces personnes auto –décrétées revolutionnaires qui, pour ne sait quoi sont totalement responsables de ce qui arrive aujourd’hui et qui nécessite l’indulgence d’une CEDEAO, insultée, humiliée et montrée du doigt comme l’ennemi intime, hier seulement.

Allant jusqu’à occuper le tarmac de l’aéroport international de Bamako- Senou, empêchant la venue dans notre pays des responsables de la CEDEAO, des amis qui ne cherchaient qu’à aider notre pays, des mouvements et associations activistes soutenus dans leur humiliants besoins par des ‘’partis politiques’’ révélés soudainement comme des nationalistes purs et durs, font profile bas aujourd’hui, rasant mal le mur de la honte. Notre pays, à travers ces âmes maléfiques, court aujourd’hui derrière ceux qu’il combattait il n’y a guerre longtemps.

Pour bon nombre d’analystes ces compatriotes d’une autre époque, mal inspirés, tentaient le mauvais coup de Blé Goudé, au plus fort de la crise post- électorale, pour défendre ce qui ne pouvait l’être, envahiront l’aéroport FHB d’Abidjan pour disaient –ils empêcher l’aéronef du président Compaoré de fouler le sol ivoirien, ce sol si insolemment souillé par le fait de va en guerre à la petite semaine. La suite est connue même si l’ironie de l’histoire, les affidés de la mauvaise théorie jouèrent le même coup à Bamako- Senou.

La CEDEAO ne viendra pas à Bamako, jamais aucune force africaine ne foulera le sol malien. Si elle, (la CEDEAO), veut aider notre pays alors qu’elle aille directement atterrir au nord sur la ligne de front. Mais diable, qui craignait – elle ? Pourquoi s’acharnaient-ils si violemment contre l’institution dont notre propre pays reste membre ?

Des soldats, sous – officiers et officiers maliens n’avaient-ils jamais débarqué nulle part en Afrique pour sauver des peuples, avec des avantages pécuniaires qu’on connaît ?
Mais voilà, la vérité, celle de Dieu qui vient les rattraper. L’armée de la CEDEAO, forte de près de 3300 hommes, armés jusqu’aux dents viendra ici à Bamako d’abord avant de se déployer sur la ligne de front. Comme quoi, on ne règle pas un problème d’une telle gravité avec le cœur bourré de haine. La CEDEAO interviendra mais pas non sans humiliation à l’endroit de ceux –là, qui muent par on ne sait quelle forme de nationalisme- patriotisme s’époumonaient contre la main amie gratuitement tendue à notre patrie. Qui est fou, si la CEDEAO n’intervient pas et vite, ici et sur la ligne de front, les islamistes marcheront rapidement sur tout le pays et adieu au rêve de tous ceux qui rêvaient du fauteuil du Calife.

Maintenant que le mal est fait, voilà qu’on autorise le président à écrire officiellement à son homologue président en exercice de la CEDEAO, Mr Ouattara pour honteusement demandé la venue de l’armée interafricaine. J’imagine les petites piques sorties des entretiens qui se sont déroulés au palais de Cocody entre Ouattara et le représentant spécial de Fabius au Sahel. Pour les compatriotes du président Ouattara, président en exercice de l’institution vomie hier et aujourd’hui courtisée, qui est fou si ce ne sont les maliens qui cherchaient à imiter le chat, toujours friand de poisson déteste inconséquemment la nage.

Sory de Moti

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