Consolidation de la paix au Mali : Les autorités traditionnelles outillées

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Publié le samedi 27 septembre 2014 | Le 26 Mars

La Coalition nationale de la société civile pour la paix et la lutte contre la prolifération des armes légères (CONASCIPAL), en partenariat avec Stockolun International Peace Research Institut (SIPRI) de la Suède, a organisé un Forum national du 16 au 18 septembre pour situer le rôle et responsabilité des autorités traditionnelles dans processus de la paix et de la réconciliation nationale.
L’ouverture des travaux a eu lieu le 16 septembre 2014 au CICB sous la présidence du chef de cabinet de ministère de l’Intérieur et de la Sécurité (MIS). C’était en présence de la directrice de CONASCIPAL, Dr Mariam D Maiga et du représentant SIPRI.
L’objectif du forum était de contribuer à la mobilisation des femmes et des autorités traditionnelles pour leur participation à la paix durable que souhaite le Mali.
En effet, c’est à la suite d’une étude menée en 2013 dans les régions Nord auprès de la population avec l’appui du SIPRI, que le CONASCIPAL a jugé nécessaire d’initier le Forum national sur le rôle et la responsabilité des autorités traditionnelles et des associations féminines dans la consolidation de la paix au Mali.
Selon la directrice de CONASCIPAL, Dr Mariam Maiga, cet espace de rencontre et de dialogue n’est pas un forum de plus mais, un forum original qui tient sa signification autre que de la qualité des participants indispensable pour la consolidation de la paix dans notre pays.
Pour elle, le thème du forum relève d’une démarche pédagogique, participative et globale. « Il s’agit d’avoir une prise direct sur la vie des populations, les appeler, les écouter, les entendre, parler pour eux, parler avec eux, échanger sur la vie qu’elles ont en commun de manière communautaire, intercommunautaire et parce qu’elles sont les principales actrices de la paix et de la réconciliation et elles sont les principales concernées ».
Pour sa part le chef de cabinet du ministère de l’intérieur et de la sécurité a souligné que les organisations féminines de la société civile et les autorités traditionnelles doivent jouer un rôle incontournable dans le processus de réconciliation, de prévention, de gestion des conflits et de consolidation de la paix. Pour cela, le gouvernement malien compte sur l’engagement de tous car la paix n’a pas de prix.
« La tenue du forum est la concrétisation de l’engagement de la CONASCIPAL et du SIPRI à développer une stratégie qui implique les acteurs clés dans la consolidation de la paix et de la sécurité au Mali », conclura-t-il.
Adama DAO

La Coalition nationale de la société civile pour la paix et la lutte contre la prolifération des armes légères (CONASCIPAL), en partenariat avec Stockolun International Peace Research Institut (SIPRI) de la Suède, a organisé un Forum national du 16 au 18 septembre pour situer le rôle et responsabilité des autorités traditionnelles dans processus de la paix et de la réconciliation nationale.
L’ouverture des travaux a eu lieu le 16 septembre 2014 au CICB sous la présidence du chef de cabinet de ministère de l’Intérieur et de la Sécurité (MIS). C’était en présence de la directrice de CONASCIPAL, Dr Mariam D Maiga et du représentant SIPRI.
L’objectif du forum était de contribuer à la mobilisation des femmes et des autorités traditionnelles pour leur participation à la paix durable que souhaite le Mali.
En effet, c’est à la suite d’une étude menée en 2013 dans les régions Nord auprès de la population avec l’appui du SIPRI, que le CONASCIPAL a jugé nécessaire d’initier le Forum national sur le rôle et la responsabilité des autorités traditionnelles et des associations féminines dans la consolidation de la paix au Mali.
Selon la directrice de CONASCIPAL, Dr Mariam Maiga, cet espace de rencontre et de dialogue n’est pas un forum de plus mais, un forum original qui tient sa signification autre que de la qualité des participants indispensable pour la consolidation de la paix dans notre pays.
Pour elle, le thème du forum relève d’une démarche pédagogique, participative et globale. « Il s’agit d’avoir une prise direct sur la vie des populations, les appeler, les écouter, les entendre, parler pour eux, parler avec eux, échanger sur la vie qu’elles ont en commun de manière communautaire, intercommunautaire et parce qu’elles sont les principales actrices de la paix et de la réconciliation et elles sont les principales concernées ».
Pour sa part le chef de cabinet du ministère de l’intérieur et de la sécurité a souligné que les organisations féminines de la société civile et les autorités traditionnelles doivent jouer un rôle incontournable dans le processus de réconciliation, de prévention, de gestion des conflits et de consolidation de la paix. Pour cela, le gouvernement malien compte sur l’engagement de tous car la paix n’a pas de prix.
« La tenue du forum est la concrétisation de l’engagement de la CONASCIPAL et du SIPRI à développer une stratégie qui implique les acteurs clés dans la consolidation de la paix et de la sécurité au Mali », conclura-t-il.
Adama DAO