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L'Indicateur Renouveau N° 1383 du 12/11/2012

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Gouvernance du système sécuritaire : Le forum des OSC ouvre le débat
Publié le mercredi 14 novembre 2012  |  L'Indicateur Renouveau




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Depuis hier se tient un atelier de deux jours dans la salle de presse du Centre international de conférence de Bamako sur la gouvernance du système sécuritaire au Mali. Il s’agit pour les participants d’échanger sur la situation politico-sécuritaire, le rôle et cadre d’intervention pour la société civile dans ce nouvel environnement. Les travaux de la cérémonie d’ouverture étaient présidés par le président du Forum des organisations de la société civile du Mali, Mamoutou Diabaté.

L’atelier sur la gouvernance du système sécuritaire au Mali du Forum des organisations de la société civile, appuyé par un pool multi-bailleurs (Danemark, la Suisse, la Suède, du Canada et du Pnud) vise à renforcer les capacités organisationnelles et d’intervention de ses membres et d’autres organisations de la société civile, en vue de leur permettre de jouer pleinement leurs rôles en matière de dialogue politique, de plaidoyer, de contrôle citoyen et de gouvernance.

Au cours de ces deux jours, les participants vont analyser le dispositif de gouvernance de la sécurité en vigueur au Mali, identifier les défis et enjeux de la gouvernance de la sécurité, et définir le cadre d’intervention des organisations de la société civile dans le système de la gouvernance partagée de la sécurité.

Pour le président du Forum des OSC, Mamoutou Diabaté, « cet atelier se tient dans un contexte où notre pays est confronté à une crise institutionnelle et sécuritaire, née des effets conjugués de la reprise de la rébellion dans les régions nord et du coup d’Etat du 22 mars. Pour surmonter ces multiples difficultés, le peuple malien a besoin de la société civile plus forte, unie, renforcée et suffisamment outillée pour accompagner les institutions de la transition de la République à gérer efficacement ces crises. Notre modèle de démocratie et de gouvernance qui était cité comme exemple dans la sous-région s’est effondré. Un nouveau rapport de force doit être établi entre les acteurs de la société civile et la population. Je pense que cet atelier va répondre à ces différentes interrogations ».

Nabila Ibrahim Sogoba

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